Citizen Sleeper : un peu plus près des étoiles

En mai dernier, nous avions testé Citizen Sleeper, un jeu d’aventure dans lequel nous incarnons un androïde qui trouve refuge dans une station spatiale. Et, même si les mécanismes de survie s’étiolaient avec la progression, nous avions grandement apprécié l’aventure. Depuis, le studio Jump Over The Age s’est lancé dans le développement d’un dernier arc narratif au sein de l’Oeil de Erlin, gratuit pour tous les possesseurs du jeu.

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Flux

C’est fin juillet qu’est sorti le premier épisode, Flux. Pour commencer l’aventure, il vous faut faire un tour du côté des serres. Notre personnage y rencontre deux individus qui vous expliquent qu’un convoi de réfugiés est gardé en quarantaine dans des conditions déplorables et ces deux là se sont mis en tête de leur fournir matériels et provisions. Et comme à son habitude, notre Dormeur se voit offrir la possibilité de participer à l’action.

Ce chapitre vous demande de collecter beaucoup de ressources et d’effectuer plusieurs actions en un temps limité. Il est vivement conseillé de s’y attaquer en end game afin de profiter de toutes les possibilités offertes par la station.

Refuge

C’est à la fin du mois d’octobre qu’est arrivée la seconde partie, Refuge. Cette fois, nulle course contre la montre : vous pouvez aborder les différentes tâches sereinement. L’accent est ici mis sur la découverte de la flotte de fortune et des différents réfugiés qui la composent. Nous en apprenons également davantage sur la raison pour laquelle ces gens ont fui leurs foyers jusqu’à se retrouver sur notre vétuste station.

Et c’est sur un moment de tension que le jeu nous propose d’attendre la troisième et dernière partie, prévue pour début 2023.

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Sur un coup de dés

L’apport de ces trois chapitres est principalement narratif avec de nouveaux personnages et les choix qui vont avec. L’histoire racontée ici est intéressante, en particulier à partir de la seconde partie. Pour ce qui est des mécaniques, elles restent les mêmes ; nulle nouvelle possibilité n’est offerte, si ce n’est l’occasion de récolter de nouveaux points de compétences. 

Depuis notre test, le jeu n’a pas foncièrement changé et les textes sont malheureusement toujours uniquement en anglais. Sur Nintendo Switch, l’écran tactile n’est toujours pas géré. S’il prend toujours autant de temps à se lancer, le garder en veille s’avère néanmoins beaucoup plus stable sur la longueur.

Et toujours à vouloir vous tripoter les épaules...
Et toujours à vouloir vous tripoter les épaules...

Réalisé sur Nintendo Switch par NeoGrifteR à partir d’une version fournie par l’éditeur.

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