Critiques et tests

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  • 07/08/2019
    Cette critique a été rédigée avant la sortie du jeu et il y a plus de 5 ans.
    Par Nekumi
    Excellente surprise pour moi.

    For The King, méconnu et sous-estimé, a sa place dans le coeur de tout amateur de tour-par-tour fantasy.

     - Vaste plateau de jeu à génération procédurale (jamais la même partie)
     - Direction artistique mignonne et colorée, musique et sons à contrepoint en mode sérieux
     - Mode solo ET coop', online ET canapé
     - Tour par tour sur la brèche 
     - Nombreux modes de jeux
     - Déverrouillage progressif de fonctionnalités, personnages et objets 

    Vous partez donc à l'aventure seul ou avec 1-2 ami (e) s pour affronter les périls aléatoires d'un monde en plein chaos.
    Des jauges temporelles se remplissent, le temps joue contre vous, et il faut se débrouiller pour inverser la tendance avant que l'ennemi ne se fasse trop retors.
    Il ne s'agit pas de se retrancher, se cacher et sur-préparer, mais au contraire d'aller de l'avant avec audace et jugé.
    Bien sûr, la chance a son mot à dire, et vous allez rager.

    Mais pour mieux reveni...

    Seul bémol, il est fermé au Workshop et aux mods, qui auraient prolongé son expérience.
  • 22/12/2014
    Cette critique a été rédigée il y a plus de 9 ans.
    Bonjour les gens, voici ma critique de Left 4 Dead 2.
    A savoir que j'ai eu le jeu pendant une offre de Valve à Noël, donc y'a 363 jours précisément.

    N°1 : Configuration du PC
    Pour du 25fps constant ou presque : un vieux AMD 1. 60GHz dual core + radeon hd 6320 en 800*600 passe largement.
    Sinon un processeur 2GHz dual core, et le jeu devrait être proche du 30 fps constant. A savoir que ce jeu pompe plus le processeur que la carte graphique. On peut dire que c'est ok pour jouer sur un PC bas de gamme sans soucis de gameplay. Pas besoin donc d'une GTX660 et d'un i7 3770K pour jouer ^^
    Prévoyez 10 Go pour le jeu, environ 8. 8~ pour le jeu lui même, mais gardez de la place pour les mods ^^

    N°2 : Jeu solo
    Nul. Les bots sont des spartiates en précision et teamplay, je suis obligé de le dire, car en fait, si le joueur meurt, game over. Même si un bot a un défibrillateur sous la main. En expert, ils tiennent pas. Pour faire simple, en facile un zombie vire 1pv, 2pv en normal, en avancé je ne sais pas, mais 10pv en expert, et ils ne repoussent pas les zombies. Voilà.  
    Ce jeu mérite un... 6/10 en solo. Les bots sont l'incarnation même du joueur qui essaie mais qui ne réussit pas.

    N°3 : Online
    - Campagne : Simple, on la fait une seule fois généralement. Pas mal de boulets qui jouent solo et qui hurlent "wtf fcking noobs" avant de quitter quand un Hunter arrive.
    - Versus normal : Poubelle. Clair, net, précis.  
    - Versus réalisme : Là c'est mieux. Les "auréoles" visibles à travers les murs pour les humains sont désactivées, mais pas pour les zombies. Ce qui fait que si un de vos pote se fait massacrer par un Hunter au coin de la rue, vous ne le verrez pas. Bon, ce mode n'est pas parfait, des gens ne jouent pas en équipe (exemple : A est sur le point de mourir, B est en bonne santé avec un médikit, B ne donne pas son médikit à A et donc A meurt bêtement suite à ses blessures ou C est un loup solitaire, et consomme les objets de soins sans se soucier de D qui en a besoin) ou des "rushers". C'est similaire aux campeurs sur un Battlefield ou un Call of Duty. Ils ne jouent pas pour le fun, mais pour gagner. Et donc ils sprintent d'un abris à l'autre SANS RIEN TUER. Le but étant de laisser les joueurs infectés loin derrière car les zombies vont moins vite que les humains de base.
    - Collecte. Poubelle. Versus avec la fin du premier chapitre. Aucun intérêt car les gens campent avec la Spitter sur la voiture (morve = explosion du bidon)
    - Survie. Très bon mode. Mais voilà. Le but étant de survivre en difficulté normale puis avancée au bout d'une minute. 40 secondes, puis toutes les minutes, un tank. Et pas de limites pour les spéciaux. Donc vous pouvez mourir en 3. 2 secondes par un troupeau de Hunter, 4 Boomers et 2 Tanks. Maps jouées : Attrium et Pont. Sur les 20 maps disponibles.  
    - Mutations. Modes de la communauté, du simple (M60 illimité) à l'impossible (8 infectés spéciaux + pas de temps de spawn + Tanks)


    Les infectés :  
    - Normaux. Ils sont normaux, sauf un qui est en armure et qu'il faut taper dans le dos.
    - Boomer. Explosif mort-vivant. Son vomi attire la horde s'il touche quelqu'un, et quand il explose, envoie ce même vomi sur les joueurs à proximité. Une balle le tue généralement. Repoussez le s'il est au corps à corps.
    - Spitter. Crache de la morve acide. Plus vous restez dedans, plus elle fait mal. La Spitter ne bouge plus pendant 1. 5 secondes après avoir craché, et laisse une petite flaque de morve sur son corps à sa mort.
    - Smoker. Utilise sa langue pour ligoter un joueur et le traîner au corps à corps ou à un endroit où il n'avance plus. Il bloque les actions de la victime.
    - Jockey. Saute sur sa victime pour faire du rodéo jusqu'à qu'elle tombe à terre.
    - Hunter. Comme le Jockey. En plus violent.  Et jusqu'à la mort
    - Charger. Il charge, percutant les joueurs. Il bloque le premier touché et le percute jusqu'à la mort.
    - Tank. DANGER. Puissant, rapide, sac à PV. Faîtes vous toucher, vous volez. Il peut tuer d'un coup en vous envoyant promener dans le vide, la chute étant mortelle. Le mieux est de l'asperger de bile de Boomer (via la bombe) pour que la horde le bloque un peu.  


    Voilà, c'est globalement L4D2.
  • 07/05/2020
    Cette critique a été rédigée il y a plus de 4 ans.
    1348. Le fléau de la peste ravage le Royaume de France. À travers les villages dévastés par la maladie, Amicia et son jeune frère Hugo tentent de fuir l'inquisition lancée à leur poursuite. Sur leur route, ils devront joindre leurs forces à celles d'autres orphelins et survivre à des hordes de rats, par le feu et la lumière. Grâce au lien qui les unit, les enfants affronteront les jours les plus sombres de l'Histoire pour échapper au destin funeste de leur famille.

    Un contexte qui sert à merveille le gameplay d'infiltration / aventure de A Plague Tale: Innocence.

    Quoi de mieux que de traverser la guerre de 100 ans, ses horreurs et ses tranchées, le début de la peste noire, la paranoïa d'une population encline au rejet qui en résulte, pour exprimer les capacités d'infiltration de deux jeunes aquitains ? Pas grand-chose. Et ce gameplay, somme toute basique, n'en demeure pas moins efficace et épouse parfaitement les différentes phases d'infiltrations. Le jeu profite entre outre d'un level design qui sert l'histoire, en prenant la forme d'un gigantesque couloir d'une quinzaine d'heures, avec quelques passages plus ouverts propices à l'exploration, afin de donner tout son potentiel à la trame narrative du titre.

    Car c'est bien là la grande réussite du studio. À travers une approche très cinématographique, dans des environnements dépeints avec un véritable talent, et profitant d'un gameplay très accessible (traduisant peut-être de la volonté de fluidité d'écoulement de l'histoire) , la naissance de relations fraternelles entre Amicia et son jeune et presque inconnu frère Hugo, tout comme l'évolution de leur quête, deviennent une véritable expérience hollywoodienne dont le plaisir de visionnage ne sera peut-être gâché que par la tournure surnaturelle que prendra la fin de l'histoire.
    Publié le 07/05/2020 12:43, modifié le 07/05/2020 12:53
  • 06/07/2016
    Cette critique a été rédigée il y a plus de 8 ans.
    C'est un jeu vraiment plaisant à prendre en mains, les parties sont frénétiques, le gameplay aussi.

    Les personnages ont tous un gameplay qui leur ait propre, ce qui casse la monotonie quand on enchaîne les parties. Les maps sont bien pensées, pour la plupart, les mods de jeu aussi. Bref, le tout est assez fun à jouer (personnellement, je trouve que ça prend tout son sens quand on joue en équipe, sur vocal -- là, ça ne ressemble plus à la même chose ^^) .

    Pour les cotés négatifs actuels, je dirais que l'équilibrage des perso n'est pas encore bon. Malgré quelques patchs, certains roulent sur les autres sans problème (par ex, Soldat 76 qui peut faire des trous avec son ulti et qui a de grosses capacités de soins) , alors que d'autres sont funs à jouer mais presque inutiles vu leur faible puissance (pour Hanzo, seul son ulti est intéressant) . 

    Un autre point négatif, à mon avis, est lié à la "cosmétique". Il y a beaucoup de tenues pour chaque personnage, mais on voit bien que bli² ne s'est pas trop creusé la tête. On croit qu'il y a huit tenues pour chaque personnage, mais en réalité, c'est juste quatre tenues avec une deuxième identique en swap colors.

    Conclusion : si vous aimez les FPS fun, sans prise de tête, et sur lesquels vous pouvez jouer avec des amis, vous pouvez foncer. Il ne coûte que 40€ (et encore, si vous allez sur [certaines boutiques en ligne], ce sera moins chère ^^) .
  • 09/05/2020
    Cette critique a été rédigée il y a plus de 4 ans.
    Un peu trop dirigiste et politique à mon goût,  Life is Strange 2 s'est émancipé de son frère aîné en laissant de côté les nombreuses phases de gameplay qui en jalonnaient l'expérience, au profit d'une proposition plus cinématographique. Du premier opus, il ne reste ici qu'un film -- beaucoup trop ? -- narratif, au risque de perdre en immersion et plaisir de jeu.

    Et c'est dommage, car la réalisation est encore une fois impeccable, tant dans les personnages atypiques que vous rencontrerez durant votre aventure qui sont relativement bien développés, que dans les graphismes et la beauté d'une Amérique sauvage que l'on regrette ne plus pouvoir explorer. La très bonne OST aidant, vous apprécierez cependant les moments plus contemplatifs. 

    In fine, si vous êtes amoureux du gameplay et/ou de réflexion, ou encore que vous appréciez les oeuvres narratives sans pour autant avoir affaire à une énième oeuvre contre Trump, et plus généralement la frange réactionnaire de la société (dépeinte avec un manichéisme non feint) , vous ne trouverez sûrement aucun plaisir dans cette nouvelle association entre Dontnod Entertainment et Square Enix. Du moins, pas suffisamment pour vous donner envie de refaire plusieurs fois l'histoire afin d'en explorer les sept fins alternatives résultants de vos décisions lors de l'aventure.
    Publié le 09/05/2020 15:09, modifié le 09/05/2020 15:12
  • 01/11/2017
    Cette critique a été rédigée il y a plus de 7 ans.
    Reprenant l'univers du MMORPG Eve Online -- que je vais citer à plusieurs reprises car il explique ma présence ici --, le jeu de tir spatial à la première personne EVE: Valkyrie a été longtemps l'ambassadeur de la réalité virtuelle chez CCP Games. Il a depuis pris ses distances avec l'ex-future révolution vidéo ludique à la faveur de la récente mise à jour Warzone, pour mieux voir le bout du tunnel. On peut ainsi mettre de côté le casque de réalité virtuelle -- que je n'ai jamais acheté -- et s'essayer à EVE: Valkyrie sur écran. Restant toutefois dans le compromis, EVE: Valkyrie - Warzone est conçu comme une expérience commune pour les joueurs sur PlayStation 4 et PC, équipés ou non d'un casque de réalité virtuelle.

    Au menu d'EVE: Valkyrie

    Après une cinématique introduisant une trame narrative qui ne servira plus, le joueur se retrouve plongé dans un menu calibré pour de la VR, quand il s'agissait de tourner la tête de droite à gauche et de haut en bas. Avant de se lancer dans le multijoueur, je m'oriente vers les options plus solitaires pour appréhender le maniement des différents vaisseaux. Quelques essais me poussent à faire rapidement une pause, le temps d'aller acheter une manette pour vibrer un peu et surtout gérer la frustration prodiguée par l'usage d'un clavier avec une souris.

    Je reprends donc mes propos et me lance dans du contenu scénarisé avec des remémorations, quand je me plonge dans la conscience mémorielle des pilotes disparus. Cette mise en bouche anecdotique par rapport au reste du jeu est pourtant ma première séquence marquante, quand je peux louvoyer parmi les vaisseaux au sein d'une flotte en plein combat, jusqu'à l'apparition d'un Titan qui balaiera la scène. Étrangement, il aura fallu jouer à EVE: Valkyrie pour vivre une séquence que l'on voit dans de nombreuses bandes-annonces d'EVE Online. Ces séquences introduisent certaines mécaniques de jeu, que l'on retrouvera plus tard. Parmi les autres modes en solitaire, je fais l'impasse sur l'exploration qui porte bien mal son nom, avec toutefois la possibilité d'accrocher à la survie pour jouer avec le score.

    Les choses sérieuses commencent véritablement avec le mode multijoueur, laissant le choix entre la coopération ou la destruction mutuelle. Le programme des parties est par contre aléatoire, le joueur se retrouvant donc baladé à travers les différentes cartes avec des modes de jeu spécifiques. On peut ainsi passer d'un deathmatch à des captures de reliques voire l'attaque coordonnée d'un immense porte-vaisseaux, sans pouvoir donc se focaliser sur son mode de prédilection. Le choix du joueur se cantonnera à celui du vaisseau, qui déterminera tout simplement le style de jeu.

    Un vaisseau, un gameplay

    Chaque vaisseau dispose de son propre armement et capacités spéciales, demandant de s'y essayer avant de l'adopter. Plusieurs catégories permettent de distinguer l'orientation voulue par les développeurs pour les combats, avec des vaisseaux complémentaires. On découvre ainsi les chasseurs lourds pour bombarder son prochain, disposant d'une bonne défense au prix d'une vélocité absente. Dans la catégorie assaut, on retrouve les vaisseaux légers qui joueront de leur vitesse pour aligner avec précision leur cible. Les vaisseaux furtifs abuseront de la furtivité pour créer des opportunités tandis que les soutiens se chargeront de remonter la survie des coéquipiers.

    Ce catalogue de vaisseaux est classique, avec la proposition d'EVE: Valkyrie de gagner en expérience sur chacun pour débloquer différents modules permettant de personnaliser un peu plus son style de jeu. Il s'agira ainsi de faire le choix par exemple entre la puissance de tir ou la fréquence de rechargement, ou bien entre vitesse et accélération, ainsi de suite sans créer un réel gouffre entre les anciens et nouveaux joueurs. Le joueur s'orientera ensuite vers son vaisseau de prédilection, quitte à changer en cours de partie selon les cartes en main. Les différences d'équipement au sein d'une même catégorie seront l'occasion d'affiner ses préférences en fonction de son style de jeu.

    Le but de la manoeuvre

    Contrairement à EVE Online, il ne s'agit pas de s'immerger dans un univers mais bien de se concentrer sur l'action. On enchaine les parties sur les différentes cartes d'EVE: Valkyrie, aux décors variés sans disposer de graphismes transcendants. L'expérience grimpe, on monte des niveaux sans vraiment avoir d'objectif si ce n'est progresser dans le classement et d'améliorer la maitrise de son vaisseau. On décrochera au passage des récompenses aléatoires -- argent, implants pour le pilote, cosmétiques --, à moins de suivre les défis quotidiens fixant des objectifs précis, tels que détruire son prochain à bord d'un vaisseau lourd un certain nombre de fois. Peu friand des récompenses d'ordre cosmétique, j'ai encore moins tendance à me focaliser dessus dans le cas d'un jeu à la première personne. Et concernant les différentes combinaisons possibles pour son avatar, ça serait un euphémisme d'y relever un intérêt.

    On vise donc sur EVE: Valkyrie - Warzone l'adrénaline des combats, quand le bip bip récurrent des missiles s'approchant à grande vitesse vous font monter en pression. Sur un registre relativement accessible, le but de la manoeuvre est bien d'exploser son prochain à la chaîne, un défouloir certes bien loin d'EVE Online mais pourtant complémentaire. Loin du clic, on manie son vaisseau d'une autre manière, au bout du stick. L'action est immédiate, sans préparation ni enjeu si ce n'est au final de gagner la partie. On peut soigner ses statistiques, du moins si l'on accroche à cette proposition de CCP Games. Le principal écueil du jeu reste le côté poussif des vaisseaux pour les habitués des FPS, donnant l'impression qu'il ne faut pas risquer le vomissement pour les joueurs sous réalité virtuelle.

    Conclusion

    Disponible depuis 2016, EVE: Valkyrie montre avec la mise à jour Warzone qu'il peut continuer d'évoluer -- voire de surprendre -- dans le bon sens. Cependant sans l'atout de la réalité virtuelle, le jeu n'est pas forcément à la hauteur d'autres jeux du genre. L'enjeu paradoxal pour CCP Games est pourtant de pouvoir toucher le plus grand nombre sans se limiter à la VR, afin de pérenniser un jeu dont l'intérêt repose avant tout sur le multijoueur. EVE: Valkyrie - Warzone est toutefois d'une certaine manière complémentaire à EVE Online, bien adapté pour une utilisation occasionnelle afin de se défouler sans risque de perdre son vaisseau. Une des solutions pour permettre à EVE: Valkyrie de se distinguer serait d'ailleurs un rapprochement -- hypothétique -- avec le MMORPG de CCP Games. Il ne s'agit donc pas d'une conclusion pour EVE: Valkyrie - Warzone, mais plutôt d'un nouveau chapitre pour un jeu en évolution.
  • 03/11/2020
    Cette critique a été rédigée il y a plus de 4 ans.
    Quel jeu ! BattleTech fait maintenant partie de mes favoris.
    J'ai eu du mal à m'y mettre, un petit peu rebuté par le tour par tour, très lent de mes premières missions.
    Le pli est vite pris, ce n'est pas un jeu d'action frénétique, mais de placement, d'observation, et d'optimisation.
    Le rythme est lent, c'est certain, les tours adverses sont parfois longs, et j'ai l'impression de me retrouver devant un CIV5 en fin de partie.
    On peut accélérer les animations via l'écran de configuration - l'option a été une découverte capitale pour mon appréciation du jeu.

    La campagne solo est excellente. L'histoire est sympathique, et nous plonge comme il faut dans le lore de Battletech.
    Les graphismes sont chouettes sans être fous. Cependant les robots sont remplis de détails, très bien modélisés, et il y a toujours un petit détail sur le terrain avec effet graphique très agréable.
    Je recommande fortement, passé des premières heures compliquées, pour réussir à comprendre toutes les subtilités des armes, et des indications de l'écran, on prend son pied !
    J'étais très familier des jeux MechWarrior en temps réel (MW2, MW4, MWO, MW5) , cela aide à jouer, mais même avec ces connaissances, cela a été dur dur au début.

    La courbe d'apprentissage vient avec la montée en difficulté du jeu, le sentiment est excellent, les deux se compensent bien.

    Un jeu mature, créé par des passionnés, avec plein de choses et de subtilités à maîtriser, comme dans le bon vieux temps. La prise en main vient vite cependant.
    Je suis comblé, c'est pile le genre de jeux que j'adore maintenant que j'entre tranquillement dans la quarantaine   (j'ai de plus en plus de mal à apprécier les FPS, pourtant mes premières amours) .
  • 02/08/2019
    Cette critique a été rédigée avant la sortie du jeu et il y a plus de 5 ans.
    Par EYKØ
    Playcraft est dans la même optique que Garry's Mod, j'ai eu un accès à l'alpha et maintenant à la bêta et j'adore ce jeu, il est super fun surtout avec des amis ! Il est fait pour tous types de personnes, vous pouvez créer tout ce qui vous passe par la tête (ou presque) sous forme de jeu (Action, narratif, jeu de tir, horreur, etc.) avec vos amis ou tout seul et les poster sur le Steam Workshop si vous le souhaitez pour que les personnes de la communauté puissent les tester. Il y a plusieurs mécaniques bien travaillées et très poussées, les objets et les décors à placer sont complets, on peut changer le style des personnages (homme ou femme) avec des cosmétiques (habits, équipement de tête, .... Les personnages peuvent être dotés de super pouvoirs (selon la création de votre jeu) , les graphismes sont semi-réalistes/cartoons (se rapprochent plus de Fortnite) . Je pense que le jeu a un grand potentiel ! Un développeur à l'écoute et qui répond à vos questions, que demander de mieux ! ?
    Voici mon avis et j'espère qu'il aura été utile à ceux qui ont des questions et qui souhaitent en savoir plus sur ce jeu !
  • 25/12/2022
    Par SpokiOne
    Une belle surprise !  
    Oui, après pas mal de déception avec les titres précèdents, je retrouve enfin l'envie de passer du temps sur le jeu. 
    Le précèdent opus Need for Speed Heat était pas assez fort en difficulté, puis la conduite était mollassonne, je m'en suis lassé car il n'était pas assez prenant !
    Dans Unbound, on retrouve du plaisir comme sur le Need for Speed Underground, ou Carbon.
    C'est bien sur PC que j'aie pu découvrir la beauté du jeu. Un mix animé, réalité avec des effets inédit.
    La conduite n'est pas simple, voire parfois frustrante lors de plusieurs échecs, mais c'est appréciable d'avoir un jeu qui nous tient.
    La difficulté en jeu est présente, oui c'est vrai, mais en même temps, on n'achète pas un jeu pour le finir en vingt heures.
    Après presque vingt heures de jeu, je prends toujours plaisir à jouer !

    Détails de la config sur laquelle je joue, qui peut faire aussi une différence avec la version PS5 que je n'ai pas encore essayée.
    i9-13900KF/32Go/RTX 3080Ti sur un écran Alienware AW3821DW (3840 x 1600) HDR - G-Sync Ultimate
    Ce qui permet de jouer avec une moyenne de 110fps.
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