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05/03/2023Cette critique a été rédigée avant la sortie du jeu et il y a plus de 2 ans.Caliber n'est pas sans rappeler Ghost Recon Online. TPS tactique proposant du 4 vs 4 mais aussi du PvE voir du PvPvE.
On retrouve les quatre même classes que dans Ghost Recon Online, à savoir Assaut, Support, Médecin et Sniper.
Chaque classe a ses propres skills et matériels spéciaux.
L'assaut est le soldat classique, le Support est une sorte de Tank et le médecin et le Sniper, tous le monde connait.
Chaque mission PvE est scénarisée avec une petite cutscene d'intro et de fin.
Le mode Frontline (PvPvE) est une bataille à 4vs4 comportant également des bots ce qui renforce l'action.
Les objectifs sont assez classique (TDM, Capture de points) .
Le jeu étant encore en bêta, il est très prometteur. La communauté semble sympa, aucune insulte ni rage quit malgré les défaites.
Les graphismes sont honorables et certaines maps sont retravaillées au fil des patchs. La boutique ne propose que du cosmétique mais il y a quand même un abonnement premium permettant d'évoluer plus vite avec un système de Battlepass. Je ne trouve rien de trop invasif vis-à-vis de la boutique. Il m'arrive souvent de faire de très bons scores face à des joueurs plus haut level, on peut donc en conclure que l'abonnement n'est pas du tout indispensable et ne déséquilibre rien. -
10/05/2024Par
4sStylZ
Hunt propose une recette en apparence très simple : 12 chasseurs de primes réunies dans un bayou de Louisiane au 19e siècle. Seul ou avec vos compagnons, trouvez la créature qui hante le bayou. Tuez-la. Bannissez-la, et partez avec la prime... ou faites-vous embusquer ! Rien ne se passe jamais comme prévu : combats de saloon dignes des meilleurs westerns spaghetti, armes trop lentes à recharger, pièges à loups sur votre passage.
J'ai passé 4000 heures sur Hunt à jouer entre 15 secondes et 45 minutes (le temps maximum d'une partie, et elles sont rares) . J'ai toujours des choses à apprendre, en particulier sur le comportement des autres chasseurs. Je trouve que ce jeu est une réussite incroyable, et rares sont les titres sur lesquels je me suis tant investis. Vous aurez le droit à de nombreux rushs d'adrénaline, certains parfois très punitifs mais aussi un sentiment incroyable quand le jeu vous récompense.
Le gameplay maintenant.
- Hunt n'est pas une simulation comme Tarkov. Il ne vous fait pas gérer le moindre rangement d'objets dans votre sac. Il vous permet de vous focaliser simplement sur le tir, le fait de voir les chasseurs ennemis, et à votre choix de vous déplacer tantôt lentement pour être discret tantôt rapidement pour agresser. Il propose autant de scènes de discretion et d'infiltrations que de scènes explosives et spectaculaires !
- Parlons du bruit. Tous vos déplacements seront rendus difficiles par la faune et la flore. Courez et risquez d'effrayer les corbeaux, de marcher sur une branche, et de vous faire repérer. Accroupissez vous dans les arbustes et risquez de prendre une balle bien placée d'un sniper. Jamais le bruit n'aura été un élément de gameplay si important que sur Hunt, tant celui que vous faites que celui de vos ennemis qu'il faudra analyser alors que vous êtes dans le brouillard ou dans la nuit.
- Hunt ne vous propose que deux modes de jeu. La chasse à la prime est le plus important et est presque exclusif. Vous payez un chasseur avec des dollars, vous l'équipez, et vous rentrez dans le bayou. Votre but : sortir la prime, tuer des gens, tuer les boss, maximiser votre ratio Kill/Death/Assist ou tout autre but que VOUS vous fixez. En effet, les gens ne jouent pas de la même manière à Hunt. Certains prendront beaucoup de risques, d'autres fuiront à la première difficulté. S'il existe plusieurs manières de jouer, il y a pourtant une réalité qui est la même pour tout le monde...
- ...Vos chasseurs seront perdus définitivement s'ils sont tués et c'est un système qui donne énormément de saveur au jeu. En effet, comme au poker où on sait que le jeu n'est sérieux et intéressant qu'à partir du moment ou une somme significative est jouée. Ne croyez pas pour autant que ce jeu est « Hardcore » à l'image des modes héroïques de Diablo ou d'un MMORPG lambda. Perdre un chasseur sur Hunt, ce n'est qu'une maigre frustration avec laquelle les joueurs apprennent à jouer. C'est aussi une composante qui permet une certaine re-jouabilité, car vos chasseurs sont dotés de traits de caractères et d'apparences différentes. Par contre, attention. On ne sort que rarement vivant du bayou, et c'est dû au système globale : 12 chasseurs qui combattent pour une à deux primes, c'est souvent une à deux équipes qui en réchappent vivantes. Bref, c'est déconseillé aux rageux !
- Votre chasseur a un équipement que vous achetez : en général, deux armes, quelques outils tels que des couteaux et poing américain pour tuer les goules, et des consommables (bâtons de dynamite, packs de soin, molotov ou jarres remplies de guêpes) . Ces « Loadouts » sont tant et tant de nouvelles manières de jouer au jeu. Les armes, dont certaines sont historiques, sont d'un autre temps, lentes à recharger, mais aussi étonnant que cela puisse paraitre, c'est cette lenteur d'utilisation qui amène des possibilités tactiques impressionnantes et des prises de décisions importantes : « Je n'ai que deux balles dans le chargeur et une sera éjectées si je recharge, dois-je risquer de recharger maintenant ou tenter le tout pour le tout ? ! » .
- Crytek est un petit studio. Les events sont nombreux mais le contenu est maigre. Les promesses de grosses mises à jour (évolution du moteur cryengine) ont laissé place à de l'attente.
- Le code du jeu souffre de quelques erreurs de jeunesse et son gameplay en est affecté. Par exemple, le viseur du jeu est légèrement excentré sur le bas ce qui peut dérouter des gens. Mais surtout, le code du jeu fait que les kills sont calculés du coté des clients de jeu. Cela implique qu'il y a donc une fenêtre de temps pendant laquelle vous pouvez tuer un ennemi qui même mort peut vous tuer lui aussi. Appelé « Trade » , cette fenêtre dépend uniquement de la latence des serveurs du jeu.
- Hunt n'est pas une simulation comme Tarkov. Il ne vous fait pas gérer le moindre rangement d'objets dans votre sac. Il vous permet de vous focaliser simplement sur le tir, le fait de voir les chasseurs ennemis, et à votre choix de vous déplacer tantôt lentement pour être discret tantôt rapidement pour agresser. Il propose autant de scènes de discretion et d'infiltrations que de scènes explosives et spectaculaires !
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05/09/2015Cette critique a été rédigée avant la sortie du jeu et il y a plus de 9 ans.Par
Nephizz
C'est une première pour les consoles Nintendo en Occident, Hatsune Miku fait son entrée en scène sur 3DS dans un jeu qui fait plus ou moins office de produit dérivé dans la saga Project Diva.
Les joueurs japonais avaient déjà pu découvrir ce jeu de rythme en 2012 sur 3DS avec Hatsune Miku and Future Stars: Project Mirai, qui n'est jamais sorti chez nous. C'est aujourd'hui sa suite qui s'invite sur 3DS en Europe avec un jeu rebaptisé Project Mirai DX.
Si vous n'êtes pas familier avec le personnage, Hatsune Miku est une star virtuelle créée au Japon : elle a notamment donné plusieurs concerts, sous la forme d'un hologramme qui chante à l'aide d'un synthétiseur vocal de type Vocaloid. Sa popularité a rapidement dépassé les frontières de son pays d’origine, et elle a entrepris la conquête du monde. Elle a, entre autres choses, assuré la première partie d'une tournée de Lady Gaga. Plusieurs jeux estampillés Miku ont vu le jour dont celui qui nous intéresse aujourd'hui, et qui reprend le concept de la série Project Diva en présentant un curieux mélange entre jeu de rythme et Tamagotchi.
La première chose qui frappe dans cet épisode 3DS, c'est le look super deformed (un petit corps avec une grosse tête) des personnages, qui contraste avec le reste de la série Project Diva dans laquelle leur corps gardait des proportions normales.
La seconde est sa maniabilité, qui s'est vue adaptée au support, en proposant au choix une prise en main classique avec les boutons ou la possibilité d'utiliser le stylet. Il est aussi possible de jouer au stylet dans le mode bouton, en appuyant sur les touches via l'écran tactile, ce qui donne en quelque sorte une troisième alternative. Le tout se prend très bien en main et permet de jouer de manière instinctive.
Pour le reste, c'est du classique, il faudra appuyer sur les bonnes touches ou les bonnes couleurs au bon moment, et parfois maintenir la touche ou utiliser la croix directionnelle et le stick quand le jeu l'exige.
Une autre différence notable au niveau de la prise en main du jeu est que les instructions n'apparaissent plus des quatre coins de l'écran comme dans les autres titres de la licence, mais elles suivent une ligne directrice sur l'écran du haut, ce qui rend l'ensemble plus lisible et moins confus.
Trois niveaux de difficulté vous sont proposés, pour s'adapter à tous les types de joueurs. Vous aurez la possibilité de faire appel à divers bonus achetables si vous avez du mal sur une piste particulière. Débloquer l'ensemble des musiques n'est qu'une formalité puisqu'il suffit de terminer en mode normal celles déjà disponibles pour accéder à une nouvelle chanson. Autant dire que l'échec est peu probable.
En revanche, il faudra sûrement beaucoup d'heures d'entraînement pour espérer finir tous les clips avec la mention S+ en mode difficile. Les modes facile et normal sont relativement simples, mais les choses se compliquent vraiment en mode difficile et certains morceaux vous offriront un gros challenge.
Concernant le jeu lui-même, il y a deux activités principales dans ce Project Mirai.
Tout d'abord le jeu de rythme qui sera votre occupation principale et dans lequel vous débloquerez de nouvelles chansons et gagnerez des MP, la monnaie du jeu. On peut aussi y visionner les clips avec leurs sous-titres.
Un autre mode, qui pourra rappeler les jeux de Tamagotchi, sera mis à votre disposition : vous pourrez choisir votre personnage favori et l'installer dans une maison de votre choix, ces dernières étant à vendre ou à louer. Vous pourrez aussi personnaliser le tout en achetant des meubles (comme une borne d'arcade Virtua Fighter, la classe) , de la nourriture ou des nouvelles tenues pour votre Vocaloid.
Et de ce côté-là, il y a largement de quoi faire vu la quantité d'objets disponibles.
On pourra aussi interagir avec notre idole virtuelle dans le mode Hang-Out, en la nourrissant, en jouant avec elle ou en lui donnant de l'argent de poche pour qu'elle s'achète elle-même les objets qu’elle convoite le plus. A noter que Miku n'est d'ailleurs pas le seul personnage disponible, on dénombre pas moins de cinq autres protagonistes.
A cela s'ajoutent plusieurs activités plus ou moins intéressantes, comme la possibilité de faire ses propres chorégraphies, se créer une carte de joueur personnalisée à échanger via Street Pass ou en ligne, débloquer tous les succès ou encore jouer au jeu bonus inclus : le bien connu Puyo Puyo, jouable seul ou à deux. A noter que ce dernier vous permet aussi de gagner des MP.
Au niveau de la playlist, le jeu propose 48 chansons, avec quelques options de personnalisation. Parmi celles-ci on trouvera d'anciens titres connus comme "World is Mine" ou encore "Romeo & Cinderella", mais on aura bien entendu notre lot de morceaux inédits. L'ensemble s'avère plutôt varié avec des titres calmes et posés et d'autres plus rythmés voir même assez loufoques. On peut d'ailleurs voir le nombre de BPM de chaque piste sur l'écran de sélection et ça ne sera pas forcément les plus lentes qui seront les plus abordables en termes de difficulté.
On a donc droit à un contenu tout à fait honnête, même si on est loin des 200 titres de son concurrent direct: Theatrhythm Final Fantasy Curtain Call.
Au final, Hatsune Miku : Project Mirai DX s'avère être un bon jeu de rythme, genre peu représenté en Europe sur 3DS. Il vous promet un bon paquet d'heures de jeu si vous avez l'intention de débloquer tous les succès et objets à obtenir.
On regrettera peut être l'absence d'un mode multijoueur contrairement au jeu intégré, Puyo Puyo, qui permet de jouer à deux, ou encore le fait que les menus sont intégralement en anglais, bien que ça ne soit pas un gros problème pour ce genre de jeu.
Il est tout de même préférable de tester la démo avant de vous le procurer si vous ne connaissez pas la licence. Les musiques très typées pop japonaise, le timbre de voix aigüe des vocaloids et le côté fan service poussé à l'extrême ne seront peut-être pas du goût de tout le monde. -
16/09/2015Cette critique a été rédigée il y a plus de 9 ans.Par un compte suppriméThe Witcher 3 est un jeu réussi : l'histoire semble intéressante (ça fait trois semaine que j'y joue) . Les dialogues des PNJ sont adaptés à la situation : le jeu se déroule pendant une guerre. Et il faut explorer pas mal de régions à la recherche d'une personne, les cartes sont de bonne taille. Il y a pas mal de lieux à explorer et des petites quêtes à effectuer, ça rapporte pas mal de composants pour les potions, les armes ou les armures.
Les graphismes et la bande son sont réussis et ils rendent bien l'ambiance. La musique est aussi réussie et elle ponctue de temps à autre l'action (combat ou exploration) .
Le système de combat est bien fait et se rapproche plus du premier que du deuxième de la série. Il faut toujours choisir les potions ou les sorts selon les monstres à combattre.
Il est possible de fabriquer les armures et les armes : ça permet d'adapter son équipement selon son niveau. Il est aussi possible d'acheter de l'équipement ou des composants.
The Witcher 3 est un bon moyen pour se changer les idées après un MMO et la durée de vie du jeu me semble importante. -
28/04/2017Cette critique a été rédigée il y a plus de 8 ans.Après 16 heures de jeu et les deux premiers bosses battus, je pense pouvoir rendre un verdict plutôt objectif.
J'ai également pris le DLC avec les voix, ce qui ajoute un gros côté RP au jeu, mais dans le même temps, te laisse sentir qui est important dans l'histoire et qui ne l'est pas, vue que le doublage est assez inégal mais honnêtement entendre toutes ces sonorités, ça transporte vraiment dans l'univers (on sent tout de même bien les influences japonaises) .
Vis à vis du jeu en lui-même, et bien je vais expédier très vite le seul défaut que je vois : le problème de caméra lors des combats. C'est dommage mais ça reste CLAIREMENT anecdotique.
Vis à vis de tout le reste ? C'est un sans-faute pour moi !
Le monde est magnifique et féerique. Franchement, j'adore, et ça me rappelle les centaines d'heures que j'ai pu passer sur Jak 2 et Rachet & Clanj 2 sur ma PS2. La fibre nostalgique marche parfaitement sur ce coup là.
Les énigmes sont intelligentes et se complexifient rapidement, en demandant d'utiliser les capacités de tous les personnages de l'équipe.
D'ailleurs, les personnages sont super intéressants. En à peine huit heures de jeu, l'histoire a déjà réussi à m'émouvoir (pas aux larmes, tout de même) . Les histoires sont belles et tristes et ça permet vraiment à tout le monde de se développer et d'être super intéressant.
Concernant le système de combat, et bien je suis fan des jeux de combats et voir un mix entre les Naruto Ultimate Ninja Storm et Dragon Ball Xenoverse, ça donne juste des combats rapides et nerveux (vraiment, j'ai pris un pied monstre face au premier boss ! ) .
Pour résumer, je pense que c'est une perle. Il y a des petits défauts techniques mais ils sont clairement gommés par l'avalanche de qualités. Et le fait qu'il soit fait par des développeurs indé et français, ça rajoute encore plus au fait que j'aime ce jeu. Franchement une superbe surprise. -
24/02/2018Cette critique a été rédigée il y a plus de 7 ans.Par
Dame-Kali
Square Enix, vous chiez dans la colle...
En commentaire positif, je vais commencer par dire que comme d'habitude, la BO est magnifique et qu'il y a une belle émotion tout de même. MAIS, je dois avouer que malheureusement, je ne vois pas bien comment je pourrais dire plus en étant positive.
Autant j'ai adoré Life Is Strange (et adoré est un petit mot... c'est un putain de chef d'oeuvre) , mais alors Before The Storm... comment dir...intéressant mais mon dieu que le scénario est plat et insipide. Il y a une émotion, certes, mais le jeu est largement en dessous de votre premier opus.
Trop de bla bla, pas assez de suspens, pas de surprise, trop linéaire, pas de rythme, trop de passage où on ne fait rien. J'ai été captivée par le premier opus, dans le deuxième, je me suis endormie devant tellement il n'y avait rien à faire... ça traîne en longueur et paradoxalement, il est cruellement court (24 heures de durée de vie pour le premier opus contre huit heures à peine pour le deuxième... cinq épisodes pour le premier opus contre trois épisodes pour le deuxième avec un épisode bonus en édition deluxe... C'EST TROP PEU, BON SANG ! ) .
Il est intéressant de le faire quand même, ce jeu... on en apprend un peu sur Rachel, Chloe, David, Franck, et d'autres... mais de mon point de vue, cet opus est largement bâclé... malheureusement. -
22/12/2014Cette critique a été rédigée il y a plus de 10 ans.Bonjour les gens, voici ma critique de Left 4 Dead 2.
A savoir que j'ai eu le jeu pendant une offre de Valve à Noël, donc y'a 363 jours précisément.
N°1 : Configuration du PC
Pour du 25fps constant ou presque : un vieux AMD 1. 60GHz dual core + radeon hd 6320 en 800*600 passe largement.
Sinon un processeur 2GHz dual core, et le jeu devrait être proche du 30 fps constant. A savoir que ce jeu pompe plus le processeur que la carte graphique. On peut dire que c'est ok pour jouer sur un PC bas de gamme sans soucis de gameplay. Pas besoin donc d'une GTX660 et d'un i7 3770K pour jouer ^^
Prévoyez 10 Go pour le jeu, environ 8. 8~ pour le jeu lui même, mais gardez de la place pour les mods ^^
N°2 : Jeu solo
Nul. Les bots sont des spartiates en précision et teamplay, je suis obligé de le dire, car en fait, si le joueur meurt, game over. Même si un bot a un défibrillateur sous la main. En expert, ils tiennent pas. Pour faire simple, en facile un zombie vire 1pv, 2pv en normal, en avancé je ne sais pas, mais 10pv en expert, et ils ne repoussent pas les zombies. Voilà.
Ce jeu mérite un... 6/10 en solo. Les bots sont l'incarnation même du joueur qui essaie mais qui ne réussit pas.
N°3 : Online
- Campagne : Simple, on la fait une seule fois généralement. Pas mal de boulets qui jouent solo et qui hurlent "wtf fcking noobs" avant de quitter quand un Hunter arrive.
- Versus normal : Poubelle. Clair, net, précis.
- Versus réalisme : Là c'est mieux. Les "auréoles" visibles à travers les murs pour les humains sont désactivées, mais pas pour les zombies. Ce qui fait que si un de vos pote se fait massacrer par un Hunter au coin de la rue, vous ne le verrez pas. Bon, ce mode n'est pas parfait, des gens ne jouent pas en équipe (exemple : A est sur le point de mourir, B est en bonne santé avec un médikit, B ne donne pas son médikit à A et donc A meurt bêtement suite à ses blessures ou C est un loup solitaire, et consomme les objets de soins sans se soucier de D qui en a besoin) ou des "rushers". C'est similaire aux campeurs sur un Battlefield ou un Call of Duty. Ils ne jouent pas pour le fun, mais pour gagner. Et donc ils sprintent d'un abris à l'autre SANS RIEN TUER. Le but étant de laisser les joueurs infectés loin derrière car les zombies vont moins vite que les humains de base.
- Collecte. Poubelle. Versus avec la fin du premier chapitre. Aucun intérêt car les gens campent avec la Spitter sur la voiture (morve = explosion du bidon)
- Survie. Très bon mode. Mais voilà. Le but étant de survivre en difficulté normale puis avancée au bout d'une minute. 40 secondes, puis toutes les minutes, un tank. Et pas de limites pour les spéciaux. Donc vous pouvez mourir en 3. 2 secondes par un troupeau de Hunter, 4 Boomers et 2 Tanks. Maps jouées : Attrium et Pont. Sur les 20 maps disponibles.
- Mutations. Modes de la communauté, du simple (M60 illimité) à l'impossible (8 infectés spéciaux + pas de temps de spawn + Tanks)
Les infectés :
- Normaux. Ils sont normaux, sauf un qui est en armure et qu'il faut taper dans le dos.
- Boomer. Explosif mort-vivant. Son vomi attire la horde s'il touche quelqu'un, et quand il explose, envoie ce même vomi sur les joueurs à proximité. Une balle le tue généralement. Repoussez le s'il est au corps à corps.
- Spitter. Crache de la morve acide. Plus vous restez dedans, plus elle fait mal. La Spitter ne bouge plus pendant 1. 5 secondes après avoir craché, et laisse une petite flaque de morve sur son corps à sa mort.
- Smoker. Utilise sa langue pour ligoter un joueur et le traîner au corps à corps ou à un endroit où il n'avance plus. Il bloque les actions de la victime.
- Jockey. Saute sur sa victime pour faire du rodéo jusqu'à qu'elle tombe à terre.
- Hunter. Comme le Jockey. En plus violent. Et jusqu'à la mort
- Charger. Il charge, percutant les joueurs. Il bloque le premier touché et le percute jusqu'à la mort.
- Tank. DANGER. Puissant, rapide, sac à PV. Faîtes vous toucher, vous volez. Il peut tuer d'un coup en vous envoyant promener dans le vide, la chute étant mortelle. Le mieux est de l'asperger de bile de Boomer (via la bombe) pour que la horde le bloque un peu.
Voilà, c'est globalement L4D2. -
07/08/2019Cette critique a été rédigée avant la sortie du jeu et il y a plus de 5 ans.Par NekumiExcellente surprise pour moi.
For The King, méconnu et sous-estimé, a sa place dans le coeur de tout amateur de tour-par-tour fantasy.
- Vaste plateau de jeu à génération procédurale (jamais la même partie)
- Direction artistique mignonne et colorée, musique et sons à contrepoint en mode sérieux
- Mode solo ET coop', online ET canapé
- Tour par tour sur la brèche
- Nombreux modes de jeux
- Déverrouillage progressif de fonctionnalités, personnages et objets
Vous partez donc à l'aventure seul ou avec 1-2 ami (e) s pour affronter les périls aléatoires d'un monde en plein chaos.
Des jauges temporelles se remplissent, le temps joue contre vous, et il faut se débrouiller pour inverser la tendance avant que l'ennemi ne se fasse trop retors.
Il ne s'agit pas de se retrancher, se cacher et sur-préparer, mais au contraire d'aller de l'avant avec audace et jugé.
Bien sûr, la chance a son mot à dire, et vous allez rager.
Mais pour mieux reveni...
Seul bémol, il est fermé au Workshop et aux mods, qui auraient prolongé son expérience. -
06/07/2016Cette critique a été rédigée il y a plus de 8 ans.C'est un jeu vraiment plaisant à prendre en mains, les parties sont frénétiques, le gameplay aussi.
Les personnages ont tous un gameplay qui leur ait propre, ce qui casse la monotonie quand on enchaîne les parties. Les maps sont bien pensées, pour la plupart, les mods de jeu aussi. Bref, le tout est assez fun à jouer (personnellement, je trouve que ça prend tout son sens quand on joue en équipe, sur vocal -- là, ça ne ressemble plus à la même chose ^^) .
Pour les cotés négatifs actuels, je dirais que l'équilibrage des perso n'est pas encore bon. Malgré quelques patchs, certains roulent sur les autres sans problème (par ex, Soldat 76 qui peut faire des trous avec son ulti et qui a de grosses capacités de soins) , alors que d'autres sont funs à jouer mais presque inutiles vu leur faible puissance (pour Hanzo, seul son ulti est intéressant) .
Un autre point négatif, à mon avis, est lié à la "cosmétique". Il y a beaucoup de tenues pour chaque personnage, mais on voit bien que bli² ne s'est pas trop creusé la tête. On croit qu'il y a huit tenues pour chaque personnage, mais en réalité, c'est juste quatre tenues avec une deuxième identique en swap colors.
Conclusion : si vous aimez les FPS fun, sans prise de tête, et sur lesquels vous pouvez jouer avec des amis, vous pouvez foncer. Il ne coûte que 40€ (et encore, si vous allez sur [certaines boutiques en ligne], ce sera moins chère ^^) . -
07/05/2020Cette critique a été rédigée il y a plus de 5 ans.9/10
A Plague Tale: InnocenceUne expérience narrative intense, pour un gameplay aussi basique qu'efficace
1348. Le fléau de la peste ravage le Royaume de France. À travers les villages dévastés par la maladie, Amicia et son jeune frère Hugo tentent de fuir l'inquisition lancée à leur poursuite. Sur leur route, ils devront joindre leurs forces à celles d'autres orphelins et survivre à des hordes de rats, par le feu et la lumière. Grâce au lien qui les unit, les enfants affronteront les jours les plus sombres de l'Histoire pour échapper au destin funeste de leur famille.
Un contexte qui sert à merveille le gameplay d'infiltration / aventure de A Plague Tale: Innocence.
Quoi de mieux que de traverser la guerre de 100 ans, ses horreurs et ses tranchées, le début de la peste noire, la paranoïa d'une population encline au rejet qui en résulte, pour exprimer les capacités d'infiltration de deux jeunes aquitains ? Pas grand-chose. Et ce gameplay, somme toute basique, n'en demeure pas moins efficace et épouse parfaitement les différentes phases d'infiltrations. Le jeu profite entre outre d'un level design qui sert l'histoire, en prenant la forme d'un gigantesque couloir d'une quinzaine d'heures, avec quelques passages plus ouverts propices à l'exploration, afin de donner tout son potentiel à la trame narrative du titre.
Car c'est bien là la grande réussite du studio. À travers une approche très cinématographique, dans des environnements dépeints avec un véritable talent, et profitant d'un gameplay très accessible (traduisant peut-être de la volonté de fluidité d'écoulement de l'histoire) , la naissance de relations fraternelles entre Amicia et son jeune et presque inconnu frère Hugo, tout comme l'évolution de leur quête, deviennent une véritable expérience hollywoodienne dont le plaisir de visionnage ne sera peut-être gâché que par la tournure surnaturelle que prendra la fin de l'histoire.Publié le 07/05/2020 12:43, modifié le 07/05/2020 12:53 - Plus d'autres critiques
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