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  • 30/03/2011
    Cette critique a été rédigée avant la sortie du jeu et il y a plus de 14 ans.
    1 personne sur 4 a trouvé cette critique utile.
    Pour moi, un genre de Dawn Of WAR 1 massivement multijoueur aurait été le pied, et fidèle à l'esprit du jeu de plateau. Incarner un "gradé" et diriger 2-3 escouades ou véhicules parmi un large choix, avec customisation des troupes au niveau matos et apparence bien sûr, et quelques "coups spéciaux" pour chacun (genre "Charge" pour des Marines en jetpack ou des Raptors du Chaos, etc... ) tout en tenant compte du moral (oui, c'est parfois pénible mais c'est sympa à jouer : ) ).
    Sinon, pour ce qui est du jeu en lui-même, très difficile à dire. On a déjà vu le plantage avec Warhammer Online premier du nom malgré des moyens et des idco, la question est : Vont-ils juste recopier tout ça dans du futuriste et garder les mêmes bases branlantes en comptant sur la communauté de fans (qui n'a pourtant pas hésité à déserter les serveurs) ? Il y a un peu moins de baratin et d'esbrouffe autour de celui-ci qu'autour du premier ("Ouais on est les meilleurs, on va killer WoW etc blablabla") , donc c'est peut-être bon signe.
    1 personne a trouvé cette critique utile.
  • 19/09/2008
    Cette critique a été rédigée avant la sortie du jeu et il y a plus de 16 ans.
    8 personnes sur 18 ont trouvé cette critique utile.
    Par Avatar de Shaggrat Shaggrat
    Warhammer 40k. Quel univers passionnant !

    J'espère qu'il y aura la possibilité de choisir entre toute les races majeurs connues avec un environnement immensément vaste, la possibilité d'explorer un TRÈS grand nombre de planètes, un large panel de véhicules terrestre, marin, de vaisseaux, d'armes, d'équipements.

    Un truc qu'il serait vraiment très sympa de voir dans le jeu, c'est de pouvoir bien entendu developpé son propre personnage mais avec de l'expérience, de pouvoir commander des soldats de la meme race sous ses ordre.

    Exemple : J'ai choisi un space marines, je le développe au bout d'un certain niveau d'expérience je créer d'autre space marines qui seront sous mes ordre " à moi " mais qui seraient dirigé par une I. A pas trop idiote. Avec cela la possibilité de donné des ordres à ses guerriers.

    A un certain niveau d'expérience notre personnage devient en quelque sorte général, commander ou autre distinction. Et à la possibilité de créer une sorte de forteresse avec quelque bâtiments à l'intérieur sur une planète choisi par le joueur, puis de créer ses sbires ses vaisseaux et de partir à la guerre contre un autre joueur par exemple.

    Voilà j'ai fait parlé mes désires lol bonne continuation à tous ! ...
    Publié le 18/09/2008 18:47, modifié le 19/09/2008 00:59
    8 personnes ont trouvé cette critique utile.
  • 15/05/2012
    Cette critique a été rédigée il y a plus de 12 ans.
    9 personnes sur 42 ont trouvé cette critique utile.
    Par Lioula
    J'ai acheté le jeu dès sa sortie. Bien que l'accès au jeu soit difficile j'ai tout de même pu me connecter y jouer pas mal de temps. Et quand je lis "5. 57 - Moyen" ça attise ma colère. Déjà pour juger un jeu faut commencer par y avoir jouer. Ce n'est pas en un jour de jeu qu'on peut se permettre d'y mettre une note. Je ne pense pas que JO soit très objectif dans sa note.

    Néanmoins pour les curieux qui hésitent encore à se l'acheter, je poste surtout pour cela, pour vous, lecteurs abasourdi par cette note catastrophique pour un si grand titre. Ne prenez surtout pas en compte la note de Jeuxonline. info. Diablo 3 possède un système très poussé pour le multijoueur, possibilité de jouer en mode solo. Le personnage avec lequel vous jouez en solo ne sera pas différent de celui avec lequel vous jouez en mode multijoueur. Les deux sont les même. C'est-à-dire que votre personnage peut jouer en mode solo tout comme en mode multijoueur d'ailleurs dans les options vous pouvez activer le mode multijoueur à partir du mode solo.

    Un système poussé vers une dynamique sociale intéressante. Vous rejoignez automatiquement une partie. Vous pouvez communiquez aisément et jouer en coopération aisément aussi. Vous pouvez rejoindre votre partenaire n'importe où dans le monde de Diablo 3. Vous pouvez l'ajouter dans vos amis, échangez etc... Il existe même un onglet pour les joueurs rencontrés avec leur disponibilité en temps réel. Encore connecté ou bien déconnecté.

    L'hôtel des ventes ne trahira pas votre plaisir de jouer. Les items vendus en hôtel de vente peuvent être accessible par vous même dans le jeu, pour les plus feignants, l'hôtel de vente est là pour vous. L'hôtel de ventes à deux types de monnaies, argents réels ou bien argent virtuel du monde de Diablo 3. Cela afin d'éviter les escroqueries.

    Impossibilité de vous faire tuer par un de vos partenaires. Le PK n'est plus possible actuellement. Les classes sont toutes magnifiques, vous avez le choix du sexe. Et les leveling offrent un système très original avec des compétences primaires, secondaires, actives et passives.

    Je donne une note parfaite car il s'agit d'un jeu dont vous ne serez pas déçu. Et c'est aussi dans le but de remonter la moyenne du jeu : D
    9 personnes ont trouvé cette critique utile.
  • 29/05/2012
    Cette critique a été rédigée il y a plus de 12 ans.
    2 personnes sur 14 ont trouvé cette critique utile.
    Par kuisac
    "Diablo 3, enfin ! " je me suis écrié mais dès le début, petite déception. En effet, à la création de notre perso, aucune personnalisation. Heureusement, les perso que l'on nous propose ont du charisme.

    En ce qui concerne les cinématiques, elles sont sublimes - une avant chaque début d'acte. Les musiques sont de bonne facture et rythme l'action et l'ambiance du jeu, qui est très bien rendu.
    Là où à mon sens le bas blesse, c'est au niveau de la difficulté en solo. En effet, il est très facile.
    Le système d'hôtel des ventes à la WoW est bien pensé pour ce genre de jeux. Beaucoup d'armes et d'armures pour personnaliser vos persos. Des pièges amusant à déjouer dans les donjons. Par contre, n'ayant pas testé le online, je n'en dirais rien pour l'instant. Quoiqu'il en soit, on hack and slash à fond pour avancer et l'on a du mal à décrocher tant le titre et jouissif. En bref, Diablo 3 ne déçoit pas, même s'il est plus orienté action que RPG. Mais c'est en général le cas dans ce genre de jeux.
    Alors chers geeks, à vos claviers et gare à vos souris car elles risquent de fumer. ^^
    2 personnes ont trouvé cette critique utile.
  • 27/05/2012
    Cette critique a été rédigée il y a plus de 12 ans.
    3 personnes sur 17 ont trouvé cette critique utile.
    Je donne la note de 8/10 parce que j'ai toujours été un fan de Diablo. Il est certes vrai que le jeu ne peut pas ressembler 100 % aux précédents, on regrettera quand même le niveau limité à 60. Pour le reste, l'histoire est sympathique et le mode de jeu en ligne est très bien fait... seul point négatif que je donne à ce jeu, c'est l'obligation d'avoir un forfait illimité internet ! Ce qui peut générer de belles surprises à la fin du mois sur la facture de téléphone pour ceux qui n'ont pas encore de forfait illimité ! Renseignez-vous bien alors avant d'acheter ce jeu. ; -) On regrettera donc qu'ils n'ont pas créé une campagne solo offline. : -)

    Reste aussi les problèmes liés aux serveurs qui crashent souvent ! Normalement ça va s'arranger avec le temps, mais une fois que le serveur crash, vous êtes bon pour recommencer votre quête à 0 et donc à repasser deux heures à refaire tout... c'est un peu dommage, c'est pour cela qu'une campagne solo était la bienvenue : -)

    Dans l'ensemble, pour moi, ça reste un jeu super ! Et confirme alors mon 8/10.

    Je le recommande. ; -)
    Publié le 27/05/2012 12:01, modifié le 27/05/2012 12:03
    3 personnes ont trouvé cette critique utile.
  • 25/03/2010
    Cette critique a été rédigée avant la sortie du jeu et il y a plus de 15 ans.
    1 personne sur 12 a trouvé cette critique utile.
    Ayant DOW 1, winter assault, dark crusade, soulstorm et DOW 2 mais pas de processeur bicoeur. J'espère que dans ce volet premier du nom en MMORPG, on puisse créer son perso façon FALLOUT 3 (visage, corpulance,... . ). La possibilité de créer sa "guilde " à partir d' un niveau définit genre NIV 20 ou 15, elles seront distinguer par des bannières personnelles. Le grade du perso pourra donner accès à la création de sa propre escouade grandissant par palier de niveau avec un maxi par exemple de 15 de population escouade. La customisation des perso IA de notre escouade serait faite façon WARHAMMER : MARK OF CHAOS (on définit des modèles type qui seront dispersés aléatoirement dans l' escouade). Leur IA sera plus ou moins efficace en fonction de leur niveau, façon DESERT STORM (recrue, spécialiste, vétéran,... . ). Il y a plein de possibilités comme celle de créer un mmorpg pas trop gourmand (genre 2GHZ pour le processeur et 2GO de ram) serait pas mal pour permettre à un grand nombre de joueurs d' y jouer. Je ne sais pas si il est sortit ou en développement ou si il ont abandonné le projet si quelqu' un pourrai m' éclairer. " LE FARDEAU DE L' ECHEC EST LE PLUS TERRIBLE DES CHÂTIMENTS " !
    1 personne a trouvé cette critique utile.
  • 01/11/2017
    Cette critique a été rédigée il y a plus de 7 ans.
    Reprenant l'univers du MMORPG Eve Online -- que je vais citer à plusieurs reprises car il explique ma présence ici --, le jeu de tir spatial à la première personne EVE: Valkyrie a été longtemps l'ambassadeur de la réalité virtuelle chez CCP Games. Il a depuis pris ses distances avec l'ex-future révolution vidéo ludique à la faveur de la récente mise à jour Warzone, pour mieux voir le bout du tunnel. On peut ainsi mettre de côté le casque de réalité virtuelle -- que je n'ai jamais acheté -- et s'essayer à EVE: Valkyrie sur écran. Restant toutefois dans le compromis, EVE: Valkyrie - Warzone est conçu comme une expérience commune pour les joueurs sur PlayStation 4 et PC, équipés ou non d'un casque de réalité virtuelle.

    Au menu d'EVE: Valkyrie

    Après une cinématique introduisant une trame narrative qui ne servira plus, le joueur se retrouve plongé dans un menu calibré pour de la VR, quand il s'agissait de tourner la tête de droite à gauche et de haut en bas. Avant de se lancer dans le multijoueur, je m'oriente vers les options plus solitaires pour appréhender le maniement des différents vaisseaux. Quelques essais me poussent à faire rapidement une pause, le temps d'aller acheter une manette pour vibrer un peu et surtout gérer la frustration prodiguée par l'usage d'un clavier avec une souris.

    Je reprends donc mes propos et me lance dans du contenu scénarisé avec des remémorations, quand je me plonge dans la conscience mémorielle des pilotes disparus. Cette mise en bouche anecdotique par rapport au reste du jeu est pourtant ma première séquence marquante, quand je peux louvoyer parmi les vaisseaux au sein d'une flotte en plein combat, jusqu'à l'apparition d'un Titan qui balaiera la scène. Étrangement, il aura fallu jouer à EVE: Valkyrie pour vivre une séquence que l'on voit dans de nombreuses bandes-annonces d'EVE Online. Ces séquences introduisent certaines mécaniques de jeu, que l'on retrouvera plus tard. Parmi les autres modes en solitaire, je fais l'impasse sur l'exploration qui porte bien mal son nom, avec toutefois la possibilité d'accrocher à la survie pour jouer avec le score.

    Les choses sérieuses commencent véritablement avec le mode multijoueur, laissant le choix entre la coopération ou la destruction mutuelle. Le programme des parties est par contre aléatoire, le joueur se retrouvant donc baladé à travers les différentes cartes avec des modes de jeu spécifiques. On peut ainsi passer d'un deathmatch à des captures de reliques voire l'attaque coordonnée d'un immense porte-vaisseaux, sans pouvoir donc se focaliser sur son mode de prédilection. Le choix du joueur se cantonnera à celui du vaisseau, qui déterminera tout simplement le style de jeu.

    Un vaisseau, un gameplay

    Chaque vaisseau dispose de son propre armement et capacités spéciales, demandant de s'y essayer avant de l'adopter. Plusieurs catégories permettent de distinguer l'orientation voulue par les développeurs pour les combats, avec des vaisseaux complémentaires. On découvre ainsi les chasseurs lourds pour bombarder son prochain, disposant d'une bonne défense au prix d'une vélocité absente. Dans la catégorie assaut, on retrouve les vaisseaux légers qui joueront de leur vitesse pour aligner avec précision leur cible. Les vaisseaux furtifs abuseront de la furtivité pour créer des opportunités tandis que les soutiens se chargeront de remonter la survie des coéquipiers.

    Ce catalogue de vaisseaux est classique, avec la proposition d'EVE: Valkyrie de gagner en expérience sur chacun pour débloquer différents modules permettant de personnaliser un peu plus son style de jeu. Il s'agira ainsi de faire le choix par exemple entre la puissance de tir ou la fréquence de rechargement, ou bien entre vitesse et accélération, ainsi de suite sans créer un réel gouffre entre les anciens et nouveaux joueurs. Le joueur s'orientera ensuite vers son vaisseau de prédilection, quitte à changer en cours de partie selon les cartes en main. Les différences d'équipement au sein d'une même catégorie seront l'occasion d'affiner ses préférences en fonction de son style de jeu.

    Le but de la manoeuvre

    Contrairement à EVE Online, il ne s'agit pas de s'immerger dans un univers mais bien de se concentrer sur l'action. On enchaine les parties sur les différentes cartes d'EVE: Valkyrie, aux décors variés sans disposer de graphismes transcendants. L'expérience grimpe, on monte des niveaux sans vraiment avoir d'objectif si ce n'est progresser dans le classement et d'améliorer la maitrise de son vaisseau. On décrochera au passage des récompenses aléatoires -- argent, implants pour le pilote, cosmétiques --, à moins de suivre les défis quotidiens fixant des objectifs précis, tels que détruire son prochain à bord d'un vaisseau lourd un certain nombre de fois. Peu friand des récompenses d'ordre cosmétique, j'ai encore moins tendance à me focaliser dessus dans le cas d'un jeu à la première personne. Et concernant les différentes combinaisons possibles pour son avatar, ça serait un euphémisme d'y relever un intérêt.

    On vise donc sur EVE: Valkyrie - Warzone l'adrénaline des combats, quand le bip bip récurrent des missiles s'approchant à grande vitesse vous font monter en pression. Sur un registre relativement accessible, le but de la manoeuvre est bien d'exploser son prochain à la chaîne, un défouloir certes bien loin d'EVE Online mais pourtant complémentaire. Loin du clic, on manie son vaisseau d'une autre manière, au bout du stick. L'action est immédiate, sans préparation ni enjeu si ce n'est au final de gagner la partie. On peut soigner ses statistiques, du moins si l'on accroche à cette proposition de CCP Games. Le principal écueil du jeu reste le côté poussif des vaisseaux pour les habitués des FPS, donnant l'impression qu'il ne faut pas risquer le vomissement pour les joueurs sous réalité virtuelle.

    Conclusion

    Disponible depuis 2016, EVE: Valkyrie montre avec la mise à jour Warzone qu'il peut continuer d'évoluer -- voire de surprendre -- dans le bon sens. Cependant sans l'atout de la réalité virtuelle, le jeu n'est pas forcément à la hauteur d'autres jeux du genre. L'enjeu paradoxal pour CCP Games est pourtant de pouvoir toucher le plus grand nombre sans se limiter à la VR, afin de pérenniser un jeu dont l'intérêt repose avant tout sur le multijoueur. EVE: Valkyrie - Warzone est toutefois d'une certaine manière complémentaire à EVE Online, bien adapté pour une utilisation occasionnelle afin de se défouler sans risque de perdre son vaisseau. Une des solutions pour permettre à EVE: Valkyrie de se distinguer serait d'ailleurs un rapprochement -- hypothétique -- avec le MMORPG de CCP Games. Il ne s'agit donc pas d'une conclusion pour EVE: Valkyrie - Warzone, mais plutôt d'un nouveau chapitre pour un jeu en évolution.
  • 09/05/2020
    Cette critique a été rédigée il y a plus de 4 ans.
    Un peu trop dirigiste et politique à mon goût,  Life is Strange 2 s'est émancipé de son frère aîné en laissant de côté les nombreuses phases de gameplay qui en jalonnaient l'expérience, au profit d'une proposition plus cinématographique. Du premier opus, il ne reste ici qu'un film -- beaucoup trop ? -- narratif, au risque de perdre en immersion et plaisir de jeu.

    Et c'est dommage, car la réalisation est encore une fois impeccable, tant dans les personnages atypiques que vous rencontrerez durant votre aventure qui sont relativement bien développés, que dans les graphismes et la beauté d'une Amérique sauvage que l'on regrette ne plus pouvoir explorer. La très bonne OST aidant, vous apprécierez cependant les moments plus contemplatifs. 

    In fine, si vous êtes amoureux du gameplay et/ou de réflexion, ou encore que vous appréciez les oeuvres narratives sans pour autant avoir affaire à une énième oeuvre contre Trump, et plus généralement la frange réactionnaire de la société (dépeinte avec un manichéisme non feint) , vous ne trouverez sûrement aucun plaisir dans cette nouvelle association entre Dontnod Entertainment et Square Enix. Du moins, pas suffisamment pour vous donner envie de refaire plusieurs fois l'histoire afin d'en explorer les sept fins alternatives résultants de vos décisions lors de l'aventure.
    Publié le 09/05/2020 15:09, modifié le 09/05/2020 15:12
  • 02/08/2019
    Cette critique a été rédigée avant la sortie du jeu et il y a plus de 5 ans.
    Par EYKØ
    Playcraft est dans la même optique que Garry's Mod, j'ai eu un accès à l'alpha et maintenant à la bêta et j'adore ce jeu, il est super fun surtout avec des amis ! Il est fait pour tous types de personnes, vous pouvez créer tout ce qui vous passe par la tête (ou presque) sous forme de jeu (Action, narratif, jeu de tir, horreur, etc.) avec vos amis ou tout seul et les poster sur le Steam Workshop si vous le souhaitez pour que les personnes de la communauté puissent les tester. Il y a plusieurs mécaniques bien travaillées et très poussées, les objets et les décors à placer sont complets, on peut changer le style des personnages (homme ou femme) avec des cosmétiques (habits, équipement de tête, .... Les personnages peuvent être dotés de super pouvoirs (selon la création de votre jeu) , les graphismes sont semi-réalistes/cartoons (se rapprochent plus de Fortnite) . Je pense que le jeu a un grand potentiel ! Un développeur à l'écoute et qui répond à vos questions, que demander de mieux ! ?
    Voici mon avis et j'espère qu'il aura été utile à ceux qui ont des questions et qui souhaitent en savoir plus sur ce jeu !
  • 03/11/2020
    Cette critique a été rédigée il y a plus de 4 ans.
    Quel jeu ! BattleTech fait maintenant partie de mes favoris.
    J'ai eu du mal à m'y mettre, un petit peu rebuté par le tour par tour, très lent de mes premières missions.
    Le pli est vite pris, ce n'est pas un jeu d'action frénétique, mais de placement, d'observation, et d'optimisation.
    Le rythme est lent, c'est certain, les tours adverses sont parfois longs, et j'ai l'impression de me retrouver devant un CIV5 en fin de partie.
    On peut accélérer les animations via l'écran de configuration - l'option a été une découverte capitale pour mon appréciation du jeu.

    La campagne solo est excellente. L'histoire est sympathique, et nous plonge comme il faut dans le lore de Battletech.
    Les graphismes sont chouettes sans être fous. Cependant les robots sont remplis de détails, très bien modélisés, et il y a toujours un petit détail sur le terrain avec effet graphique très agréable.
    Je recommande fortement, passé des premières heures compliquées, pour réussir à comprendre toutes les subtilités des armes, et des indications de l'écran, on prend son pied !
    J'étais très familier des jeux MechWarrior en temps réel (MW2, MW4, MWO, MW5) , cela aide à jouer, mais même avec ces connaissances, cela a été dur dur au début.

    La courbe d'apprentissage vient avec la montée en difficulté du jeu, le sentiment est excellent, les deux se compensent bien.

    Un jeu mature, créé par des passionnés, avec plein de choses et de subtilités à maîtriser, comme dans le bon vieux temps. La prise en main vient vite cependant.
    Je suis comblé, c'est pile le genre de jeux que j'adore maintenant que j'entre tranquillement dans la quarantaine   (j'ai de plus en plus de mal à apprécier les FPS, pourtant mes premières amours) .
  • 06/02/2020
    Cette critique a été rédigée il y a plus de 5 ans.
    For Honor a su susciter une grosse hype qui n'a eu d'égal que la déception d'une partie des joueurs, mais pas pour les raisons habituelles. Deux ans après sa sortie, je suis retourné sur le bébé PvP de Ubisoft pour voir si les choses avaient changé. Mais d'abord, retour sur le jeu :

    Sur le papier :
    - un système de combat complexe et souple adapté au PvP (histoire de changer)
    - trois directions pour attaquer ou se défendre qui enrichissent les combats
    - la possibilité de feinter et de casser les blocages
    - des classes vraiment particulières et uniques
    - du PvP équilibré (arrêtez de rire)
    - des graphismes qui claquent
    - des arènes aux enjeux variés

    Jeu en main :
    - un système qui tient ses promesses, même si on s'aperçoit vite que certaines classes peuvent bourriner avec seulement deux boutons enchaînés... et qu'il faudra du skill pour s'en sortir avec peine. Vraiment dommage, parce que même s'il est possible de gagner contre ces tacticiens de génie, le fait de devoir suer à grosses gouttes contre un adversaire qui répète inlassablement les deux mêmes attaques démontre un manque de jugeote au moment du développement.
    - le système directionnel est top. Cela change vraiment la façon de percevoir le combat. On regrettera que certains coups ne sont "mystérieusement" pas bloqués lorsque l'avatar a décidé que, non, il ne bloquerait pas à temps. Le ragequit nous guette.
    - les feintes et les brise-gardes (qui vont souvent de paire) sont très bien fichus, c'est l'un des points forts du jeu qui donne du sel au combat.
    - les classes sont grosso-modo bien équilibrées dès lors qu'on connaît leurs avantages et faiblesses, à l'exception de quelques unes bénéficiant des fameux enchaînements binaires difficiles à casser. Mention très bien pour leur variété répartie à travers les trois factions. Chaque classe est vraiment unique, même si elles appartiennent chacune à des catégories.
    - l'équilibrage est difficile à discerner, car tout dépend réellement du niveau des participants. Une classe jugée très forte et facile d'accès ne vous posera sans doute aucun problème, dès lors que vous aurez de l'expérience. Le jeu est trop complexe pour simplement se résumer à l'équilibrage classique des MMO.
    - côté graphismes, c'est très correct pour un jeu sorti en 2017 et qui embarque une dimension multi. Les animations sont tops.
    - Les arènes se résument à peu de chose. Bon, c'est un jeu de combat mais on pouvait s'attendre à mieux : domination, match à morts, duel et double duel. C'est pauvre.

    Au final, For Honor est un jeu réussi et techniquement très abouti. Le plaisir du combat n'a d'égal que le sentiment de progression. On passe bien vite la campagne solo qui n'est là que pour introduire le PvP (mais qui reste très acceptable en terme de narration et de temps de jeu) et on se rend vite compte que pour affronter d'autres joueurs, il va falloir faire quelques tours en entraînement. Plutôt bien fait, ils permettent d'apprendre l'essentiel et on y retourne à intervalles réguliers pour y apprendre des enchaînements et des techniques toujours plus poussées afin de dominer des adversaires qu'on espère tout aussi passionnés. Un régal.

    Alors pourquoi parler de déception au final ? Le jeu a tenu ses promesses, il est agréable à jouer, on sent les coups passer et on trépigne sur son fauteuil à chaque esquive de justesse en hurlant de joie lorsqu'on parvient à passer un finish-him après un blocage parfait. Le problème de For Honor, ce n'est pas For Honor, c'est Ubisoft. Comme à son habitude, la société canadienne a tout misé sur l'aspect du jeu pour générer la hype et n'a pas mis un rond dans les serveurs. On joue en peer to peer. Non mais what ? ! ? Bienvenue sur les serveurs de l'an 2000 les gars !

    Pire : le match making est le plus mauvais que j'ai vu de toute ma vie et je pèse mes mots. Non seulement il est lent et vous passerez presque aussi longtemps à attendre le lancement de la partie qu'à jouer (et je ne plaisante pas) , mais il est codé avec l'anus du stagiaire-esclave. Quelques exemples de ce qui ne va pas :
    - décision de la classe à jouer APRES avoir trouvé un groupe ou un adversaire, ce qui rajoute du temps d'attente.
    - comme on choisit après coup mais qu'il faut bien essayer de mettre les joueurs par niveau, le matchmaking vous range par catégories de réputations générales... calculées sur la base de la totalité de celles de vos personnages. Vous débutez sur une nouvelle classe ? BIEN FAIT POUR VOUS ! Vous allez rencontrer des joueurs qui maîtrisent parfaitement la leur alors que vous essayez de vous dépatouiller avec ce nouveau personnage. N'aviez qu'à pas être si fort avec une autre classe aussi !
    - temps de chargements de la mort ! Mon TO8 lançait les jeux plus vite que ça ! Il suffit qu'un des joueurs ait une mauvaise connexion et ça prend dix ans !
    - déconnexions aléatoires si le joueur qui accueille la partie s'en va. So 2002 !
    - Et comme c'est encore pas assez de bonheur, on en rajoute une louche à la fin, hein ! Après le combat, passage obligé de plusieurs secondes sur le tableau des scores (alors qu'on peut le regarder de toute façon après) pour enchaîner avec le détail des gains d'XP et puis on donne la possibilité aux joueurs de valider le lancement d'une nouvelle partie pour éviter d'avoir à rechercher un nouveau groupe/adversaire... seulement voilà, il y a des choses à faire avant ! Oui parce que si vous voulez déposer des troupes pour participer à la guerre ou reprendre des ordres (quêtes pour recevoir de l'XP en plus) , c'est uniquement durant ce nouveau temps d'attente obligatoire où on patiente pour que tout le monde valide et pas PENDANT le prochain temps de chargement ou en sortant du groupe en cumulant les gains ! Ç'aurait été bien trop simple !

    En bref, pour 5 minutes sur une domination et 3 minutes sur un duel, on passait en moyenne presque autant de temps (quand ce n'était pas plus) à attendre à la sortie du jeu. On abandonnait très vite les activités ou la population n'est pas annoncée comme "forte" ou "très forte" parce que sinon, on ne jouait presque pas, l'attente se démultipliant lors des tentatives absurdes de ce mathmaking tout aussi absurde. Ubisoft aurait pu faire de For Honor un monstre sacré du multi-PvP, mais parce que rien n'a été fait pour améliorer l'expérience en ligne à ce niveau, j'avais fini par baisser les bras et arrêté d'y jouer.

    Deux ans plus tard :
    Première constatation, Ubisoft n'a pas investi dans des serveurs dédiés ou modifié le matchmaking. Si le contenu a (un tout petit peu) évolué, il n'en reste pas moins que les mêmes écueils majeurs persistent aussi bien à ce niveau que dans le gameplay. Bien loin de régler les problèmes, la société canadienne n'a finalement fait que rajouter de nouvelles classes payantes et une arène pas terrible (un rush asymétrique avec boss à battre ou défendre à la fin) . C'est toujours aussi pauvre. On sent que les problèmes pourtant parfaitement réparables (comme ce matchmaking de l'Enfer) sont laissés de côté au profit de ventes de DLC. EA style.

    Et pendant qu'on y est : méthode Evolve, hein ! Parmi les nouvelles classes, on trouve des techniques complètement broken ! Trois coups rapides pratiquement inesquivables et goodbye les PV, même sur un gardien ou un tank ! Une seule prise et hop, vous êtes vidés de votre endurance (donc virtuellement mort) , parce que c'est ça la bonne tactique pour vendre du DLC : rendre l'ancien contenu obsolète, peu importe si le gameplay des anciennes classes était appréciés des joueurs. Achète ou meurs.

    En conclusion :
    Si For Honor est sans conteste un excellent jeu de combat et que les duels (seul gameplay réellement divertissant passé un certain niveau) sont toujours aussi attrayants malgré ses défauts et même si je dois admettre qu'il détient le meilleur système de combat PvP que je connaisse (dépassant largement celui d'Absolver, pourtant très bon aussi) , For Honor traîne son éditeur comme un boulet à chaque pied. Rien n'est fait pour que cette expérience s'améliore ou s'enrichisse et donc rien n'est fait pour vous garder en ligne sur le long terme. Si vous n'avez jamais essayé ce jeu et que vous vous languissez de bon PvP, faites-vous plaisir à la prochaine promo. Si en revanche, vous étiez partis à cause des soucis techniques susmentionnés, sachez que rien n'a vraiment changé.
    Publié le 06/02/2020 19:11, modifié le 06/02/2020 20:19
  • 22/12/2014
    Cette critique a été rédigée il y a plus de 10 ans.
    Bonjour les gens, voici ma critique de Left 4 Dead 2.
    A savoir que j'ai eu le jeu pendant une offre de Valve à Noël, donc y'a 363 jours précisément.

    N°1 : Configuration du PC
    Pour du 25fps constant ou presque : un vieux AMD 1. 60GHz dual core + radeon hd 6320 en 800*600 passe largement.
    Sinon un processeur 2GHz dual core, et le jeu devrait être proche du 30 fps constant. A savoir que ce jeu pompe plus le processeur que la carte graphique. On peut dire que c'est ok pour jouer sur un PC bas de gamme sans soucis de gameplay. Pas besoin donc d'une GTX660 et d'un i7 3770K pour jouer ^^
    Prévoyez 10 Go pour le jeu, environ 8. 8~ pour le jeu lui même, mais gardez de la place pour les mods ^^

    N°2 : Jeu solo
    Nul. Les bots sont des spartiates en précision et teamplay, je suis obligé de le dire, car en fait, si le joueur meurt, game over. Même si un bot a un défibrillateur sous la main. En expert, ils tiennent pas. Pour faire simple, en facile un zombie vire 1pv, 2pv en normal, en avancé je ne sais pas, mais 10pv en expert, et ils ne repoussent pas les zombies. Voilà.  
    Ce jeu mérite un... 6/10 en solo. Les bots sont l'incarnation même du joueur qui essaie mais qui ne réussit pas.

    N°3 : Online
    - Campagne : Simple, on la fait une seule fois généralement. Pas mal de boulets qui jouent solo et qui hurlent "wtf fcking noobs" avant de quitter quand un Hunter arrive.
    - Versus normal : Poubelle. Clair, net, précis.  
    - Versus réalisme : Là c'est mieux. Les "auréoles" visibles à travers les murs pour les humains sont désactivées, mais pas pour les zombies. Ce qui fait que si un de vos pote se fait massacrer par un Hunter au coin de la rue, vous ne le verrez pas. Bon, ce mode n'est pas parfait, des gens ne jouent pas en équipe (exemple : A est sur le point de mourir, B est en bonne santé avec un médikit, B ne donne pas son médikit à A et donc A meurt bêtement suite à ses blessures ou C est un loup solitaire, et consomme les objets de soins sans se soucier de D qui en a besoin) ou des "rushers". C'est similaire aux campeurs sur un Battlefield ou un Call of Duty. Ils ne jouent pas pour le fun, mais pour gagner. Et donc ils sprintent d'un abris à l'autre SANS RIEN TUER. Le but étant de laisser les joueurs infectés loin derrière car les zombies vont moins vite que les humains de base.
    - Collecte. Poubelle. Versus avec la fin du premier chapitre. Aucun intérêt car les gens campent avec la Spitter sur la voiture (morve = explosion du bidon)
    - Survie. Très bon mode. Mais voilà. Le but étant de survivre en difficulté normale puis avancée au bout d'une minute. 40 secondes, puis toutes les minutes, un tank. Et pas de limites pour les spéciaux. Donc vous pouvez mourir en 3. 2 secondes par un troupeau de Hunter, 4 Boomers et 2 Tanks. Maps jouées : Attrium et Pont. Sur les 20 maps disponibles.  
    - Mutations. Modes de la communauté, du simple (M60 illimité) à l'impossible (8 infectés spéciaux + pas de temps de spawn + Tanks)


    Les infectés :  
    - Normaux. Ils sont normaux, sauf un qui est en armure et qu'il faut taper dans le dos.
    - Boomer. Explosif mort-vivant. Son vomi attire la horde s'il touche quelqu'un, et quand il explose, envoie ce même vomi sur les joueurs à proximité. Une balle le tue généralement. Repoussez le s'il est au corps à corps.
    - Spitter. Crache de la morve acide. Plus vous restez dedans, plus elle fait mal. La Spitter ne bouge plus pendant 1. 5 secondes après avoir craché, et laisse une petite flaque de morve sur son corps à sa mort.
    - Smoker. Utilise sa langue pour ligoter un joueur et le traîner au corps à corps ou à un endroit où il n'avance plus. Il bloque les actions de la victime.
    - Jockey. Saute sur sa victime pour faire du rodéo jusqu'à qu'elle tombe à terre.
    - Hunter. Comme le Jockey. En plus violent.  Et jusqu'à la mort
    - Charger. Il charge, percutant les joueurs. Il bloque le premier touché et le percute jusqu'à la mort.
    - Tank. DANGER. Puissant, rapide, sac à PV. Faîtes vous toucher, vous volez. Il peut tuer d'un coup en vous envoyant promener dans le vide, la chute étant mortelle. Le mieux est de l'asperger de bile de Boomer (via la bombe) pour que la horde le bloque un peu.  


    Voilà, c'est globalement L4D2.
  • 07/08/2019
    Cette critique a été rédigée avant la sortie du jeu et il y a plus de 5 ans.
    Par Nekumi
    Excellente surprise pour moi.

    For The King, méconnu et sous-estimé, a sa place dans le coeur de tout amateur de tour-par-tour fantasy.

     - Vaste plateau de jeu à génération procédurale (jamais la même partie)
     - Direction artistique mignonne et colorée, musique et sons à contrepoint en mode sérieux
     - Mode solo ET coop', online ET canapé
     - Tour par tour sur la brèche 
     - Nombreux modes de jeux
     - Déverrouillage progressif de fonctionnalités, personnages et objets 

    Vous partez donc à l'aventure seul ou avec 1-2 ami (e) s pour affronter les périls aléatoires d'un monde en plein chaos.
    Des jauges temporelles se remplissent, le temps joue contre vous, et il faut se débrouiller pour inverser la tendance avant que l'ennemi ne se fasse trop retors.
    Il ne s'agit pas de se retrancher, se cacher et sur-préparer, mais au contraire d'aller de l'avant avec audace et jugé.
    Bien sûr, la chance a son mot à dire, et vous allez rager.

    Mais pour mieux reveni...

    Seul bémol, il est fermé au Workshop et aux mods, qui auraient prolongé son expérience.
  • 06/07/2016
    Cette critique a été rédigée il y a plus de 8 ans.
    C'est un jeu vraiment plaisant à prendre en mains, les parties sont frénétiques, le gameplay aussi.

    Les personnages ont tous un gameplay qui leur ait propre, ce qui casse la monotonie quand on enchaîne les parties. Les maps sont bien pensées, pour la plupart, les mods de jeu aussi. Bref, le tout est assez fun à jouer (personnellement, je trouve que ça prend tout son sens quand on joue en équipe, sur vocal -- là, ça ne ressemble plus à la même chose ^^) .

    Pour les cotés négatifs actuels, je dirais que l'équilibrage des perso n'est pas encore bon. Malgré quelques patchs, certains roulent sur les autres sans problème (par ex, Soldat 76 qui peut faire des trous avec son ulti et qui a de grosses capacités de soins) , alors que d'autres sont funs à jouer mais presque inutiles vu leur faible puissance (pour Hanzo, seul son ulti est intéressant) . 

    Un autre point négatif, à mon avis, est lié à la "cosmétique". Il y a beaucoup de tenues pour chaque personnage, mais on voit bien que bli² ne s'est pas trop creusé la tête. On croit qu'il y a huit tenues pour chaque personnage, mais en réalité, c'est juste quatre tenues avec une deuxième identique en swap colors.

    Conclusion : si vous aimez les FPS fun, sans prise de tête, et sur lesquels vous pouvez jouer avec des amis, vous pouvez foncer. Il ne coûte que 40€ (et encore, si vous allez sur [certaines boutiques en ligne], ce sera moins chère ^^) .
  • 07/05/2020
    Cette critique a été rédigée il y a plus de 4 ans.
    1348. Le fléau de la peste ravage le Royaume de France. À travers les villages dévastés par la maladie, Amicia et son jeune frère Hugo tentent de fuir l'inquisition lancée à leur poursuite. Sur leur route, ils devront joindre leurs forces à celles d'autres orphelins et survivre à des hordes de rats, par le feu et la lumière. Grâce au lien qui les unit, les enfants affronteront les jours les plus sombres de l'Histoire pour échapper au destin funeste de leur famille.

    Un contexte qui sert à merveille le gameplay d'infiltration / aventure de A Plague Tale: Innocence.

    Quoi de mieux que de traverser la guerre de 100 ans, ses horreurs et ses tranchées, le début de la peste noire, la paranoïa d'une population encline au rejet qui en résulte, pour exprimer les capacités d'infiltration de deux jeunes aquitains ? Pas grand-chose. Et ce gameplay, somme toute basique, n'en demeure pas moins efficace et épouse parfaitement les différentes phases d'infiltrations. Le jeu profite entre outre d'un level design qui sert l'histoire, en prenant la forme d'un gigantesque couloir d'une quinzaine d'heures, avec quelques passages plus ouverts propices à l'exploration, afin de donner tout son potentiel à la trame narrative du titre.

    Car c'est bien là la grande réussite du studio. À travers une approche très cinématographique, dans des environnements dépeints avec un véritable talent, et profitant d'un gameplay très accessible (traduisant peut-être de la volonté de fluidité d'écoulement de l'histoire) , la naissance de relations fraternelles entre Amicia et son jeune et presque inconnu frère Hugo, tout comme l'évolution de leur quête, deviennent une véritable expérience hollywoodienne dont le plaisir de visionnage ne sera peut-être gâché que par la tournure surnaturelle que prendra la fin de l'histoire.
    Publié le 07/05/2020 12:43, modifié le 07/05/2020 12:53
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