Critiques et tests

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  • 30/03/2011
    Cette critique a été rédigée avant la sortie du jeu et il y a plus de 13 ans.
    1 personne sur 4 a trouvé cette critique utile.
    Pour moi, un genre de Dawn Of WAR 1 massivement multijoueur aurait été le pied, et fidèle à l'esprit du jeu de plateau. Incarner un "gradé" et diriger 2-3 escouades ou véhicules parmi un large choix, avec customisation des troupes au niveau matos et apparence bien sûr, et quelques "coups spéciaux" pour chacun (genre "Charge" pour des Marines en jetpack ou des Raptors du Chaos, etc... ) tout en tenant compte du moral (oui, c'est parfois pénible mais c'est sympa à jouer : ) ).
    Sinon, pour ce qui est du jeu en lui-même, très difficile à dire. On a déjà vu le plantage avec Warhammer Online premier du nom malgré des moyens et des idco, la question est : Vont-ils juste recopier tout ça dans du futuriste et garder les mêmes bases branlantes en comptant sur la communauté de fans (qui n'a pourtant pas hésité à déserter les serveurs) ? Il y a un peu moins de baratin et d'esbrouffe autour de celui-ci qu'autour du premier ("Ouais on est les meilleurs, on va killer WoW etc blablabla") , donc c'est peut-être bon signe.
    1 personne a trouvé cette critique utile.
  • 19/09/2008
    Cette critique a été rédigée avant la sortie du jeu et il y a plus de 16 ans.
    8 personnes sur 18 ont trouvé cette critique utile.
    Par Avatar de Shaggrat Shaggrat
    Warhammer 40k. Quel univers passionnant !

    J'espère qu'il y aura la possibilité de choisir entre toute les races majeurs connues avec un environnement immensément vaste, la possibilité d'explorer un TRÈS grand nombre de planètes, un large panel de véhicules terrestre, marin, de vaisseaux, d'armes, d'équipements.

    Un truc qu'il serait vraiment très sympa de voir dans le jeu, c'est de pouvoir bien entendu developpé son propre personnage mais avec de l'expérience, de pouvoir commander des soldats de la meme race sous ses ordre.

    Exemple : J'ai choisi un space marines, je le développe au bout d'un certain niveau d'expérience je créer d'autre space marines qui seront sous mes ordre " à moi " mais qui seraient dirigé par une I. A pas trop idiote. Avec cela la possibilité de donné des ordres à ses guerriers.

    A un certain niveau d'expérience notre personnage devient en quelque sorte général, commander ou autre distinction. Et à la possibilité de créer une sorte de forteresse avec quelque bâtiments à l'intérieur sur une planète choisi par le joueur, puis de créer ses sbires ses vaisseaux et de partir à la guerre contre un autre joueur par exemple.

    Voilà j'ai fait parlé mes désires lol bonne continuation à tous ! ...
    Publié le 18/09/2008 18:47, modifié le 19/09/2008 00:59
    8 personnes ont trouvé cette critique utile.
  • 15/05/2012
    Cette critique a été rédigée il y a plus de 12 ans.
    9 personnes sur 42 ont trouvé cette critique utile.
    Par Lioula
    J'ai acheté le jeu dès sa sortie. Bien que l'accès au jeu soit difficile j'ai tout de même pu me connecter y jouer pas mal de temps. Et quand je lis "5. 57 - Moyen" ça attise ma colère. Déjà pour juger un jeu faut commencer par y avoir jouer. Ce n'est pas en un jour de jeu qu'on peut se permettre d'y mettre une note. Je ne pense pas que JO soit très objectif dans sa note.

    Néanmoins pour les curieux qui hésitent encore à se l'acheter, je poste surtout pour cela, pour vous, lecteurs abasourdi par cette note catastrophique pour un si grand titre. Ne prenez surtout pas en compte la note de Jeuxonline. info. Diablo 3 possède un système très poussé pour le multijoueur, possibilité de jouer en mode solo. Le personnage avec lequel vous jouez en solo ne sera pas différent de celui avec lequel vous jouez en mode multijoueur. Les deux sont les même. C'est-à-dire que votre personnage peut jouer en mode solo tout comme en mode multijoueur d'ailleurs dans les options vous pouvez activer le mode multijoueur à partir du mode solo.

    Un système poussé vers une dynamique sociale intéressante. Vous rejoignez automatiquement une partie. Vous pouvez communiquez aisément et jouer en coopération aisément aussi. Vous pouvez rejoindre votre partenaire n'importe où dans le monde de Diablo 3. Vous pouvez l'ajouter dans vos amis, échangez etc... Il existe même un onglet pour les joueurs rencontrés avec leur disponibilité en temps réel. Encore connecté ou bien déconnecté.

    L'hôtel des ventes ne trahira pas votre plaisir de jouer. Les items vendus en hôtel de vente peuvent être accessible par vous même dans le jeu, pour les plus feignants, l'hôtel de vente est là pour vous. L'hôtel de ventes à deux types de monnaies, argents réels ou bien argent virtuel du monde de Diablo 3. Cela afin d'éviter les escroqueries.

    Impossibilité de vous faire tuer par un de vos partenaires. Le PK n'est plus possible actuellement. Les classes sont toutes magnifiques, vous avez le choix du sexe. Et les leveling offrent un système très original avec des compétences primaires, secondaires, actives et passives.

    Je donne une note parfaite car il s'agit d'un jeu dont vous ne serez pas déçu. Et c'est aussi dans le but de remonter la moyenne du jeu : D
    9 personnes ont trouvé cette critique utile.
  • 29/05/2012
    Cette critique a été rédigée il y a plus de 12 ans.
    2 personnes sur 14 ont trouvé cette critique utile.
    Par kuisac
    "Diablo 3, enfin ! " je me suis écrié mais dès le début, petite déception. En effet, à la création de notre perso, aucune personnalisation. Heureusement, les perso que l'on nous propose ont du charisme.

    En ce qui concerne les cinématiques, elles sont sublimes - une avant chaque début d'acte. Les musiques sont de bonne facture et rythme l'action et l'ambiance du jeu, qui est très bien rendu.
    Là où à mon sens le bas blesse, c'est au niveau de la difficulté en solo. En effet, il est très facile.
    Le système d'hôtel des ventes à la WoW est bien pensé pour ce genre de jeux. Beaucoup d'armes et d'armures pour personnaliser vos persos. Des pièges amusant à déjouer dans les donjons. Par contre, n'ayant pas testé le online, je n'en dirais rien pour l'instant. Quoiqu'il en soit, on hack and slash à fond pour avancer et l'on a du mal à décrocher tant le titre et jouissif. En bref, Diablo 3 ne déçoit pas, même s'il est plus orienté action que RPG. Mais c'est en général le cas dans ce genre de jeux.
    Alors chers geeks, à vos claviers et gare à vos souris car elles risquent de fumer. ^^
    2 personnes ont trouvé cette critique utile.
  • 27/05/2012
    Cette critique a été rédigée il y a plus de 12 ans.
    3 personnes sur 17 ont trouvé cette critique utile.
    Je donne la note de 8/10 parce que j'ai toujours été un fan de Diablo. Il est certes vrai que le jeu ne peut pas ressembler 100 % aux précédents, on regrettera quand même le niveau limité à 60. Pour le reste, l'histoire est sympathique et le mode de jeu en ligne est très bien fait... seul point négatif que je donne à ce jeu, c'est l'obligation d'avoir un forfait illimité internet ! Ce qui peut générer de belles surprises à la fin du mois sur la facture de téléphone pour ceux qui n'ont pas encore de forfait illimité ! Renseignez-vous bien alors avant d'acheter ce jeu. ; -) On regrettera donc qu'ils n'ont pas créé une campagne solo offline. : -)

    Reste aussi les problèmes liés aux serveurs qui crashent souvent ! Normalement ça va s'arranger avec le temps, mais une fois que le serveur crash, vous êtes bon pour recommencer votre quête à 0 et donc à repasser deux heures à refaire tout... c'est un peu dommage, c'est pour cela qu'une campagne solo était la bienvenue : -)

    Dans l'ensemble, pour moi, ça reste un jeu super ! Et confirme alors mon 8/10.

    Je le recommande. ; -)
    Publié le 27/05/2012 12:01, modifié le 27/05/2012 12:03
    3 personnes ont trouvé cette critique utile.
  • 25/03/2010
    Cette critique a été rédigée avant la sortie du jeu et il y a plus de 14 ans.
    1 personne sur 12 a trouvé cette critique utile.
    Ayant DOW 1, winter assault, dark crusade, soulstorm et DOW 2 mais pas de processeur bicoeur. J'espère que dans ce volet premier du nom en MMORPG, on puisse créer son perso façon FALLOUT 3 (visage, corpulance,... . ). La possibilité de créer sa "guilde " à partir d' un niveau définit genre NIV 20 ou 15, elles seront distinguer par des bannières personnelles. Le grade du perso pourra donner accès à la création de sa propre escouade grandissant par palier de niveau avec un maxi par exemple de 15 de population escouade. La customisation des perso IA de notre escouade serait faite façon WARHAMMER : MARK OF CHAOS (on définit des modèles type qui seront dispersés aléatoirement dans l' escouade). Leur IA sera plus ou moins efficace en fonction de leur niveau, façon DESERT STORM (recrue, spécialiste, vétéran,... . ). Il y a plein de possibilités comme celle de créer un mmorpg pas trop gourmand (genre 2GHZ pour le processeur et 2GO de ram) serait pas mal pour permettre à un grand nombre de joueurs d' y jouer. Je ne sais pas si il est sortit ou en développement ou si il ont abandonné le projet si quelqu' un pourrai m' éclairer. " LE FARDEAU DE L' ECHEC EST LE PLUS TERRIBLE DES CHÂTIMENTS " !
    1 personne a trouvé cette critique utile.
  • 05/09/2015
    Cette critique a été rédigée avant la sortie du jeu et il y a plus de 9 ans.
    Par Avatar de Nephizz Nephizz
    C'est une première pour les consoles Nintendo en Occident, Hatsune Miku fait son entrée en scène sur 3DS dans un jeu qui fait plus ou moins office de produit dérivé dans la saga Project Diva.
    Les joueurs japonais avaient déjà pu découvrir ce jeu de rythme en 2012 sur 3DS avec Hatsune Miku and Future Stars: Project Mirai, qui n'est jamais sorti chez nous. C'est aujourd'hui sa suite qui s'invite sur 3DS en Europe avec un jeu rebaptisé Project Mirai DX.


    Si vous n'êtes pas familier avec le personnage, Hatsune Miku est une star virtuelle créée au Japon : elle a notamment donné plusieurs concerts, sous la forme d'un hologramme qui chante à l'aide d'un synthétiseur vocal de type Vocaloid. Sa popularité a rapidement dépassé les frontières de son pays d’origine, et elle a entrepris la conquête du monde. Elle a, entre autres choses, assuré la première partie d'une tournée de Lady Gaga. Plusieurs jeux estampillés Miku ont vu le jour dont celui qui nous intéresse aujourd'hui, et qui reprend le concept de la série Project Diva en présentant un curieux mélange entre jeu de rythme et Tamagotchi.

    La première chose qui frappe dans cet épisode 3DS, c'est le look super deformed (un petit corps avec une grosse tête) des personnages, qui contraste avec le reste de la série Project Diva dans laquelle leur corps gardait des proportions normales.

    La seconde est sa maniabilité, qui s'est vue adaptée au support, en proposant au choix une prise en main classique avec les boutons ou la possibilité d'utiliser le stylet. Il est aussi possible de jouer au stylet dans le mode bouton, en appuyant sur les touches via l'écran tactile, ce qui donne en quelque sorte une troisième alternative. Le tout se prend très bien en main et permet de jouer de manière instinctive.
    Pour le reste, c'est du classique, il faudra appuyer sur les bonnes touches ou les bonnes couleurs au bon moment, et parfois maintenir la touche ou utiliser la croix directionnelle et le stick quand le jeu l'exige.
    Une autre différence notable au niveau de la prise en main du jeu est que les instructions n'apparaissent plus des quatre coins de l'écran comme dans les autres titres de la licence, mais elles suivent une ligne directrice sur l'écran du haut, ce qui rend l'ensemble plus lisible et moins confus.


    Trois niveaux de difficulté vous sont proposés, pour s'adapter à tous les types de joueurs. Vous aurez la possibilité de faire appel à divers bonus achetables si vous avez du mal sur une piste particulière. Débloquer l'ensemble des musiques n'est qu'une formalité puisqu'il suffit de terminer en mode normal celles déjà disponibles pour accéder à une nouvelle chanson. Autant dire que l'échec est peu probable.
    En revanche, il faudra sûrement beaucoup d'heures d'entraînement pour espérer finir tous les clips avec la mention S+ en mode difficile. Les modes facile et normal sont relativement simples, mais les choses se compliquent vraiment en mode difficile et certains morceaux vous offriront un gros challenge.

    Concernant le jeu lui-même, il y a deux activités principales dans ce Project Mirai.
    Tout d'abord le jeu de rythme qui sera votre occupation principale et dans lequel vous débloquerez de nouvelles chansons et gagnerez des MP, la monnaie du jeu. On peut aussi y visionner les clips avec leurs sous-titres.

    Un autre mode, qui pourra rappeler les jeux de Tamagotchi, sera mis à votre disposition : vous pourrez choisir votre personnage favori et l'installer dans une maison de votre choix, ces dernières étant à vendre ou à louer. Vous pourrez aussi personnaliser le tout en achetant des meubles (comme une borne d'arcade Virtua Fighter, la classe) , de la nourriture ou des nouvelles tenues pour votre Vocaloid.
    Et de ce côté-là, il y a largement de quoi faire vu la quantité d'objets disponibles.
    On pourra aussi interagir avec notre idole virtuelle dans le mode Hang-Out, en la nourrissant, en jouant avec elle ou en lui donnant de l'argent de poche pour qu'elle s'achète elle-même les objets qu’elle convoite le plus. A noter que Miku n'est d'ailleurs pas le seul personnage disponible, on dénombre pas moins de cinq autres protagonistes.


    A cela s'ajoutent plusieurs activités plus ou moins intéressantes, comme la possibilité de faire ses propres chorégraphies, se créer une carte de joueur personnalisée à échanger via Street Pass ou en ligne, débloquer tous les succès ou encore jouer au jeu bonus inclus : le bien connu Puyo Puyo, jouable seul ou à deux. A noter que ce dernier vous permet aussi de gagner des MP.


    Au niveau de la playlist, le jeu propose 48 chansons, avec quelques options de personnalisation. Parmi celles-ci on trouvera d'anciens titres connus comme "World is Mine" ou encore "Romeo & Cinderella", mais on aura bien entendu notre lot de morceaux inédits. L'ensemble s'avère plutôt varié avec des titres calmes et posés et d'autres plus rythmés voir même assez loufoques. On peut d'ailleurs voir le nombre de BPM de chaque piste sur l'écran de sélection et ça ne sera pas forcément les plus lentes qui seront les plus abordables en termes de difficulté.
    On a donc droit à un contenu tout à fait honnête, même si on est loin des 200 titres de son concurrent direct: Theatrhythm Final Fantasy Curtain Call.

    Au final, Hatsune Miku : Project Mirai DX s'avère être un bon jeu de rythme, genre peu représenté en Europe sur 3DS. Il vous promet un bon paquet d'heures de jeu si vous avez l'intention de débloquer tous les succès et objets à obtenir.
    On regrettera peut être l'absence d'un mode multijoueur contrairement au jeu intégré, Puyo Puyo, qui permet de jouer à deux, ou encore le fait que les menus sont intégralement en anglais, bien que ça ne soit pas un gros problème pour ce genre de jeu.
    Il est tout de même préférable de tester la démo avant de vous le procurer si vous ne connaissez pas la licence. Les musiques très typées pop japonaise, le timbre de voix aigüe des vocaloids et le côté fan service poussé à l'extrême ne seront peut-être pas du goût de tout le monde.
  • 16/09/2015
    Cette critique a été rédigée il y a plus de 9 ans.
    Par un compte supprimé
    The Witcher 3 est un jeu réussi : l'histoire semble intéressante  (ça fait trois semaine que j'y joue) . Les dialogues des PNJ sont adaptés à la situation : le jeu se déroule pendant une guerre. Et il faut explorer pas mal de régions à la recherche d'une personne, les cartes sont de bonne taille. Il y a pas mal de lieux à explorer et des petites quêtes à effectuer, ça rapporte pas mal de composants pour les potions, les armes ou les armures.

    Les graphismes et la bande son sont réussis et ils rendent bien l'ambiance. La musique est aussi réussie et elle ponctue de temps à autre l'action (combat ou exploration) .
    Le système de combat est bien fait et se rapproche plus du premier que du deuxième de la série. Il faut toujours choisir les potions ou les sorts selon les monstres à combattre.
    Il est possible de fabriquer les armures et les armes : ça permet d'adapter son équipement selon son niveau. Il est aussi possible d'acheter de l'équipement ou des composants.
    The Witcher 3 est un bon moyen pour se changer les idées après un MMO et la durée de vie du jeu me semble importante.
  • 28/04/2017
    Cette critique a été rédigée il y a plus de 7 ans.
    Après 16 heures de jeu et les deux premiers bosses battus, je pense pouvoir rendre un verdict plutôt objectif.

    J'ai également pris le DLC avec les voix, ce qui ajoute un gros côté RP au jeu, mais dans le même temps, te laisse sentir qui est important dans l'histoire et qui ne l'est pas, vue que le doublage est assez inégal mais honnêtement entendre toutes ces sonorités, ça transporte vraiment dans l'univers (on sent tout de même bien les influences japonaises) .

    Vis à vis du jeu en lui-même, et bien je vais expédier très vite le seul défaut que je vois : le problème de caméra lors des combats. C'est dommage mais ça reste CLAIREMENT anecdotique.

    Vis à vis de tout le reste ? C'est un sans-faute pour moi !
    Le monde est magnifique et féerique. Franchement, j'adore, et ça me rappelle les centaines d'heures que j'ai pu passer sur Jak 2 et Rachet & Clanj 2 sur ma PS2. La fibre nostalgique marche parfaitement sur ce coup là.
    Les énigmes sont intelligentes et se complexifient rapidement, en demandant d'utiliser les capacités de tous les personnages de l'équipe.

    D'ailleurs, les personnages sont super intéressants. En à peine huit heures de jeu, l'histoire a déjà réussi à m'émouvoir (pas aux larmes, tout de même) . Les histoires sont belles et tristes et ça permet vraiment à tout le monde de se développer et d'être super intéressant.

    Concernant le système de combat, et bien je suis fan des jeux de combats et voir un mix entre les Naruto Ultimate Ninja Storm et Dragon Ball Xenoverse, ça donne juste des combats rapides et nerveux (vraiment, j'ai pris un pied monstre face au premier boss ! ) .

    Pour résumer, je pense que c'est une perle. Il y a des petits défauts techniques mais ils sont clairement gommés par l'avalanche de qualités. Et le fait qu'il soit fait par des développeurs indé et français, ça rajoute encore plus au fait que j'aime ce jeu. Franchement une superbe surprise.
  • 24/02/2018
    Cette critique a été rédigée il y a plus de 6 ans.
    Par Avatar de Dame-Kali Dame-Kali
    Square Enix, vous chiez dans la colle...

    En commentaire positif, je vais commencer par dire que comme d'habitude, la BO est magnifique et qu'il y a une belle émotion tout de même. MAIS, je dois avouer que malheureusement, je ne vois pas bien comment je pourrais dire plus en étant positive.

    Autant j'ai adoré Life Is Strange (et adoré est un petit mot... c'est un putain de chef d'oeuvre) , mais alors Before The Storm... comment dir...intéressant mais mon dieu que le scénario est plat et insipide. Il y a une émotion, certes, mais le jeu est largement en dessous de votre premier opus.

    Trop de bla bla, pas assez de suspens, pas de surprise, trop linéaire, pas de rythme, trop de passage où on ne fait rien. J'ai été captivée par le premier opus, dans le deuxième, je me suis endormie devant tellement il n'y avait rien à faire... ça traîne en longueur et paradoxalement, il est cruellement court (24 heures de durée de vie pour le premier opus contre huit heures à peine pour le deuxième... cinq épisodes pour le premier opus contre trois épisodes pour le deuxième avec un épisode bonus en édition deluxe... C'EST TROP PEU, BON SANG ! ) .

    Il est intéressant de le faire quand même, ce jeu... on en apprend un peu sur Rachel, Chloe, David, Franck, et d'autres... mais de mon point de vue, cet opus est largement bâclé... malheureusement.
  • 22/12/2014
    Cette critique a été rédigée il y a plus de 10 ans.
    Bonjour les gens, voici ma critique de Left 4 Dead 2.
    A savoir que j'ai eu le jeu pendant une offre de Valve à Noël, donc y'a 363 jours précisément.

    N°1 : Configuration du PC
    Pour du 25fps constant ou presque : un vieux AMD 1. 60GHz dual core + radeon hd 6320 en 800*600 passe largement.
    Sinon un processeur 2GHz dual core, et le jeu devrait être proche du 30 fps constant. A savoir que ce jeu pompe plus le processeur que la carte graphique. On peut dire que c'est ok pour jouer sur un PC bas de gamme sans soucis de gameplay. Pas besoin donc d'une GTX660 et d'un i7 3770K pour jouer ^^
    Prévoyez 10 Go pour le jeu, environ 8. 8~ pour le jeu lui même, mais gardez de la place pour les mods ^^

    N°2 : Jeu solo
    Nul. Les bots sont des spartiates en précision et teamplay, je suis obligé de le dire, car en fait, si le joueur meurt, game over. Même si un bot a un défibrillateur sous la main. En expert, ils tiennent pas. Pour faire simple, en facile un zombie vire 1pv, 2pv en normal, en avancé je ne sais pas, mais 10pv en expert, et ils ne repoussent pas les zombies. Voilà.  
    Ce jeu mérite un... 6/10 en solo. Les bots sont l'incarnation même du joueur qui essaie mais qui ne réussit pas.

    N°3 : Online
    - Campagne : Simple, on la fait une seule fois généralement. Pas mal de boulets qui jouent solo et qui hurlent "wtf fcking noobs" avant de quitter quand un Hunter arrive.
    - Versus normal : Poubelle. Clair, net, précis.  
    - Versus réalisme : Là c'est mieux. Les "auréoles" visibles à travers les murs pour les humains sont désactivées, mais pas pour les zombies. Ce qui fait que si un de vos pote se fait massacrer par un Hunter au coin de la rue, vous ne le verrez pas. Bon, ce mode n'est pas parfait, des gens ne jouent pas en équipe (exemple : A est sur le point de mourir, B est en bonne santé avec un médikit, B ne donne pas son médikit à A et donc A meurt bêtement suite à ses blessures ou C est un loup solitaire, et consomme les objets de soins sans se soucier de D qui en a besoin) ou des "rushers". C'est similaire aux campeurs sur un Battlefield ou un Call of Duty. Ils ne jouent pas pour le fun, mais pour gagner. Et donc ils sprintent d'un abris à l'autre SANS RIEN TUER. Le but étant de laisser les joueurs infectés loin derrière car les zombies vont moins vite que les humains de base.
    - Collecte. Poubelle. Versus avec la fin du premier chapitre. Aucun intérêt car les gens campent avec la Spitter sur la voiture (morve = explosion du bidon)
    - Survie. Très bon mode. Mais voilà. Le but étant de survivre en difficulté normale puis avancée au bout d'une minute. 40 secondes, puis toutes les minutes, un tank. Et pas de limites pour les spéciaux. Donc vous pouvez mourir en 3. 2 secondes par un troupeau de Hunter, 4 Boomers et 2 Tanks. Maps jouées : Attrium et Pont. Sur les 20 maps disponibles.  
    - Mutations. Modes de la communauté, du simple (M60 illimité) à l'impossible (8 infectés spéciaux + pas de temps de spawn + Tanks)


    Les infectés :  
    - Normaux. Ils sont normaux, sauf un qui est en armure et qu'il faut taper dans le dos.
    - Boomer. Explosif mort-vivant. Son vomi attire la horde s'il touche quelqu'un, et quand il explose, envoie ce même vomi sur les joueurs à proximité. Une balle le tue généralement. Repoussez le s'il est au corps à corps.
    - Spitter. Crache de la morve acide. Plus vous restez dedans, plus elle fait mal. La Spitter ne bouge plus pendant 1. 5 secondes après avoir craché, et laisse une petite flaque de morve sur son corps à sa mort.
    - Smoker. Utilise sa langue pour ligoter un joueur et le traîner au corps à corps ou à un endroit où il n'avance plus. Il bloque les actions de la victime.
    - Jockey. Saute sur sa victime pour faire du rodéo jusqu'à qu'elle tombe à terre.
    - Hunter. Comme le Jockey. En plus violent.  Et jusqu'à la mort
    - Charger. Il charge, percutant les joueurs. Il bloque le premier touché et le percute jusqu'à la mort.
    - Tank. DANGER. Puissant, rapide, sac à PV. Faîtes vous toucher, vous volez. Il peut tuer d'un coup en vous envoyant promener dans le vide, la chute étant mortelle. Le mieux est de l'asperger de bile de Boomer (via la bombe) pour que la horde le bloque un peu.  


    Voilà, c'est globalement L4D2.
  • 07/08/2019
    Cette critique a été rédigée avant la sortie du jeu et il y a plus de 5 ans.
    Par Nekumi
    Excellente surprise pour moi.

    For The King, méconnu et sous-estimé, a sa place dans le coeur de tout amateur de tour-par-tour fantasy.

     - Vaste plateau de jeu à génération procédurale (jamais la même partie)
     - Direction artistique mignonne et colorée, musique et sons à contrepoint en mode sérieux
     - Mode solo ET coop', online ET canapé
     - Tour par tour sur la brèche 
     - Nombreux modes de jeux
     - Déverrouillage progressif de fonctionnalités, personnages et objets 

    Vous partez donc à l'aventure seul ou avec 1-2 ami (e) s pour affronter les périls aléatoires d'un monde en plein chaos.
    Des jauges temporelles se remplissent, le temps joue contre vous, et il faut se débrouiller pour inverser la tendance avant que l'ennemi ne se fasse trop retors.
    Il ne s'agit pas de se retrancher, se cacher et sur-préparer, mais au contraire d'aller de l'avant avec audace et jugé.
    Bien sûr, la chance a son mot à dire, et vous allez rager.

    Mais pour mieux reveni...

    Seul bémol, il est fermé au Workshop et aux mods, qui auraient prolongé son expérience.
  • 06/07/2016
    Cette critique a été rédigée il y a plus de 8 ans.
    C'est un jeu vraiment plaisant à prendre en mains, les parties sont frénétiques, le gameplay aussi.

    Les personnages ont tous un gameplay qui leur ait propre, ce qui casse la monotonie quand on enchaîne les parties. Les maps sont bien pensées, pour la plupart, les mods de jeu aussi. Bref, le tout est assez fun à jouer (personnellement, je trouve que ça prend tout son sens quand on joue en équipe, sur vocal -- là, ça ne ressemble plus à la même chose ^^) .

    Pour les cotés négatifs actuels, je dirais que l'équilibrage des perso n'est pas encore bon. Malgré quelques patchs, certains roulent sur les autres sans problème (par ex, Soldat 76 qui peut faire des trous avec son ulti et qui a de grosses capacités de soins) , alors que d'autres sont funs à jouer mais presque inutiles vu leur faible puissance (pour Hanzo, seul son ulti est intéressant) . 

    Un autre point négatif, à mon avis, est lié à la "cosmétique". Il y a beaucoup de tenues pour chaque personnage, mais on voit bien que bli² ne s'est pas trop creusé la tête. On croit qu'il y a huit tenues pour chaque personnage, mais en réalité, c'est juste quatre tenues avec une deuxième identique en swap colors.

    Conclusion : si vous aimez les FPS fun, sans prise de tête, et sur lesquels vous pouvez jouer avec des amis, vous pouvez foncer. Il ne coûte que 40€ (et encore, si vous allez sur [certaines boutiques en ligne], ce sera moins chère ^^) .
  • 07/05/2020
    Cette critique a été rédigée il y a plus de 4 ans.
    1348. Le fléau de la peste ravage le Royaume de France. À travers les villages dévastés par la maladie, Amicia et son jeune frère Hugo tentent de fuir l'inquisition lancée à leur poursuite. Sur leur route, ils devront joindre leurs forces à celles d'autres orphelins et survivre à des hordes de rats, par le feu et la lumière. Grâce au lien qui les unit, les enfants affronteront les jours les plus sombres de l'Histoire pour échapper au destin funeste de leur famille.

    Un contexte qui sert à merveille le gameplay d'infiltration / aventure de A Plague Tale: Innocence.

    Quoi de mieux que de traverser la guerre de 100 ans, ses horreurs et ses tranchées, le début de la peste noire, la paranoïa d'une population encline au rejet qui en résulte, pour exprimer les capacités d'infiltration de deux jeunes aquitains ? Pas grand-chose. Et ce gameplay, somme toute basique, n'en demeure pas moins efficace et épouse parfaitement les différentes phases d'infiltrations. Le jeu profite entre outre d'un level design qui sert l'histoire, en prenant la forme d'un gigantesque couloir d'une quinzaine d'heures, avec quelques passages plus ouverts propices à l'exploration, afin de donner tout son potentiel à la trame narrative du titre.

    Car c'est bien là la grande réussite du studio. À travers une approche très cinématographique, dans des environnements dépeints avec un véritable talent, et profitant d'un gameplay très accessible (traduisant peut-être de la volonté de fluidité d'écoulement de l'histoire) , la naissance de relations fraternelles entre Amicia et son jeune et presque inconnu frère Hugo, tout comme l'évolution de leur quête, deviennent une véritable expérience hollywoodienne dont le plaisir de visionnage ne sera peut-être gâché que par la tournure surnaturelle que prendra la fin de l'histoire.
    Publié le 07/05/2020 12:43, modifié le 07/05/2020 12:53
  • 01/11/2017
    Cette critique a été rédigée il y a plus de 7 ans.
    Reprenant l'univers du MMORPG Eve Online -- que je vais citer à plusieurs reprises car il explique ma présence ici --, le jeu de tir spatial à la première personne EVE: Valkyrie a été longtemps l'ambassadeur de la réalité virtuelle chez CCP Games. Il a depuis pris ses distances avec l'ex-future révolution vidéo ludique à la faveur de la récente mise à jour Warzone, pour mieux voir le bout du tunnel. On peut ainsi mettre de côté le casque de réalité virtuelle -- que je n'ai jamais acheté -- et s'essayer à EVE: Valkyrie sur écran. Restant toutefois dans le compromis, EVE: Valkyrie - Warzone est conçu comme une expérience commune pour les joueurs sur PlayStation 4 et PC, équipés ou non d'un casque de réalité virtuelle.

    Au menu d'EVE: Valkyrie

    Après une cinématique introduisant une trame narrative qui ne servira plus, le joueur se retrouve plongé dans un menu calibré pour de la VR, quand il s'agissait de tourner la tête de droite à gauche et de haut en bas. Avant de se lancer dans le multijoueur, je m'oriente vers les options plus solitaires pour appréhender le maniement des différents vaisseaux. Quelques essais me poussent à faire rapidement une pause, le temps d'aller acheter une manette pour vibrer un peu et surtout gérer la frustration prodiguée par l'usage d'un clavier avec une souris.

    Je reprends donc mes propos et me lance dans du contenu scénarisé avec des remémorations, quand je me plonge dans la conscience mémorielle des pilotes disparus. Cette mise en bouche anecdotique par rapport au reste du jeu est pourtant ma première séquence marquante, quand je peux louvoyer parmi les vaisseaux au sein d'une flotte en plein combat, jusqu'à l'apparition d'un Titan qui balaiera la scène. Étrangement, il aura fallu jouer à EVE: Valkyrie pour vivre une séquence que l'on voit dans de nombreuses bandes-annonces d'EVE Online. Ces séquences introduisent certaines mécaniques de jeu, que l'on retrouvera plus tard. Parmi les autres modes en solitaire, je fais l'impasse sur l'exploration qui porte bien mal son nom, avec toutefois la possibilité d'accrocher à la survie pour jouer avec le score.

    Les choses sérieuses commencent véritablement avec le mode multijoueur, laissant le choix entre la coopération ou la destruction mutuelle. Le programme des parties est par contre aléatoire, le joueur se retrouvant donc baladé à travers les différentes cartes avec des modes de jeu spécifiques. On peut ainsi passer d'un deathmatch à des captures de reliques voire l'attaque coordonnée d'un immense porte-vaisseaux, sans pouvoir donc se focaliser sur son mode de prédilection. Le choix du joueur se cantonnera à celui du vaisseau, qui déterminera tout simplement le style de jeu.

    Un vaisseau, un gameplay

    Chaque vaisseau dispose de son propre armement et capacités spéciales, demandant de s'y essayer avant de l'adopter. Plusieurs catégories permettent de distinguer l'orientation voulue par les développeurs pour les combats, avec des vaisseaux complémentaires. On découvre ainsi les chasseurs lourds pour bombarder son prochain, disposant d'une bonne défense au prix d'une vélocité absente. Dans la catégorie assaut, on retrouve les vaisseaux légers qui joueront de leur vitesse pour aligner avec précision leur cible. Les vaisseaux furtifs abuseront de la furtivité pour créer des opportunités tandis que les soutiens se chargeront de remonter la survie des coéquipiers.

    Ce catalogue de vaisseaux est classique, avec la proposition d'EVE: Valkyrie de gagner en expérience sur chacun pour débloquer différents modules permettant de personnaliser un peu plus son style de jeu. Il s'agira ainsi de faire le choix par exemple entre la puissance de tir ou la fréquence de rechargement, ou bien entre vitesse et accélération, ainsi de suite sans créer un réel gouffre entre les anciens et nouveaux joueurs. Le joueur s'orientera ensuite vers son vaisseau de prédilection, quitte à changer en cours de partie selon les cartes en main. Les différences d'équipement au sein d'une même catégorie seront l'occasion d'affiner ses préférences en fonction de son style de jeu.

    Le but de la manoeuvre

    Contrairement à EVE Online, il ne s'agit pas de s'immerger dans un univers mais bien de se concentrer sur l'action. On enchaine les parties sur les différentes cartes d'EVE: Valkyrie, aux décors variés sans disposer de graphismes transcendants. L'expérience grimpe, on monte des niveaux sans vraiment avoir d'objectif si ce n'est progresser dans le classement et d'améliorer la maitrise de son vaisseau. On décrochera au passage des récompenses aléatoires -- argent, implants pour le pilote, cosmétiques --, à moins de suivre les défis quotidiens fixant des objectifs précis, tels que détruire son prochain à bord d'un vaisseau lourd un certain nombre de fois. Peu friand des récompenses d'ordre cosmétique, j'ai encore moins tendance à me focaliser dessus dans le cas d'un jeu à la première personne. Et concernant les différentes combinaisons possibles pour son avatar, ça serait un euphémisme d'y relever un intérêt.

    On vise donc sur EVE: Valkyrie - Warzone l'adrénaline des combats, quand le bip bip récurrent des missiles s'approchant à grande vitesse vous font monter en pression. Sur un registre relativement accessible, le but de la manoeuvre est bien d'exploser son prochain à la chaîne, un défouloir certes bien loin d'EVE Online mais pourtant complémentaire. Loin du clic, on manie son vaisseau d'une autre manière, au bout du stick. L'action est immédiate, sans préparation ni enjeu si ce n'est au final de gagner la partie. On peut soigner ses statistiques, du moins si l'on accroche à cette proposition de CCP Games. Le principal écueil du jeu reste le côté poussif des vaisseaux pour les habitués des FPS, donnant l'impression qu'il ne faut pas risquer le vomissement pour les joueurs sous réalité virtuelle.

    Conclusion

    Disponible depuis 2016, EVE: Valkyrie montre avec la mise à jour Warzone qu'il peut continuer d'évoluer -- voire de surprendre -- dans le bon sens. Cependant sans l'atout de la réalité virtuelle, le jeu n'est pas forcément à la hauteur d'autres jeux du genre. L'enjeu paradoxal pour CCP Games est pourtant de pouvoir toucher le plus grand nombre sans se limiter à la VR, afin de pérenniser un jeu dont l'intérêt repose avant tout sur le multijoueur. EVE: Valkyrie - Warzone est toutefois d'une certaine manière complémentaire à EVE Online, bien adapté pour une utilisation occasionnelle afin de se défouler sans risque de perdre son vaisseau. Une des solutions pour permettre à EVE: Valkyrie de se distinguer serait d'ailleurs un rapprochement -- hypothétique -- avec le MMORPG de CCP Games. Il ne s'agit donc pas d'une conclusion pour EVE: Valkyrie - Warzone, mais plutôt d'un nouveau chapitre pour un jeu en évolution.
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