Test de God of War : Ragnarök - Ragnarök is coming (màj 26 septembre 2024 : ajout de la version PC)

Santa Monica Studios avait réussi à apporter un vent de fraîcheur en 2018 avec l’arrivée de God of War. Une version acclamée qui a glané de nombreux titres de "jeu de l'année." Il a fallu quatre années pour obtenir la suite des aventures de Kratos et Atreus. Mais… Est-ce que la qualité est toujours au rendez-vous ?

La version PC : Un portage dans la continuité

Quelques jours à peine avant la sortie du portage d’Until Dawn, voici que nous arrive la version PC de God of War Ragnarök. Un portage réalisé par Santa Monica Studio et Jetpack Interactive qui occupera pas moins de 175 Go sur nos disques durs puisque cette édition comprend le jeu de base et son extension Valhalla. Avant d’aborder le plan purement technique, répondons à une question qui semble provoquer une vague de bashing sur Steam : le jeu semble demander une connexion à un compte PlayStation à certains joueurs pour lancer le jeu. Je n'ai pas eu le problème, mais il est possible que ce soit dû à une liaison préalable entre mon compte Steam et un compte PlayStation.

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Comme vous pouvez le voir dans le tableau ci-joint, Ragnarök se montre très raisonnable sur ses exigences matérielles. En natif, le jeu se contentera d’une RTX 2060 Super et d’un CPU vieux de 5 ans (Ryzen 5 3600 ou i5-8600) pour atteindre les 60 fps en 1080p natif avec les réglages en medium. En High, la carte vidéo montera forcément un peu en gamme avec une 3060ti pour tenir les 60 fps natif. Pour l’ultra, les choses se compliquent un peu puisqu’il faudra compter sur une 4060ti ou 6800xt pour atteindre les 1080p/60 fps natif. En 4K natif par contre, pas de surprise, une grosse carte sera nécessaire. Si la 4070 Super oscillera par exemple entre 52 et 60 fps, il faudra se rabattre sur du plus haut de gamme pour du 4K/60fps constant.

Heureusement, ce portage n’a pas oublié d’intégrer toutes les petites technologies d’upscaling courantes sur PC. On note d’ailleurs que comme Ghost of Tsushima avant lui, Ragnarök sépare les technologies d’upscaling et celles liées à la génération de frames. Le DLSS 3 (pour les RTX 4000) côtoie donc FSR-FG d’AMD qui sera lui disponible pour tout le monde. Du côté upscaling, on retrouve le DLSS, le FSR 3.1 et le XeSS d’Intel. Dans la pratique, sur ma config (R7 5700X3D – RTX 3060 12Go), avec Frame Gen et DLSS, j’atteignais les 144 fps en 1080p/High, avec quelques baisses dans des zones visuellement plus chargées. J’ai vu pire dans les portages récents. Dans l'ensemble, c'est donc un portage plutôt solide à mes yeux, le jeu est visuellement magnifique. Pour être complet, signalons toutefois que certains joueurs se plaignaient de fuites mémoires et de crashes dans certaines zones. Je n’en ai personnellement pas été témoin, mais je ne suis pas adepte des longues sessions de jeu où elles ont plus de chances d'apparaître.

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NDR : Ce test parlera de la fin de God of War (2018), mais aussi de certains personnages de Ragnarök. Si vous voulez éviter d’éventuels spoils et vous garder la surprise, évitez de lire la partie histoire. Nous discuterons aussi de nouveaux éléments de gameplay donc vous êtes prévenus !

On notera qu’un patch 1.0 sera déployé à la sortie du jeu. Celui-ci aura notamment un impact sur des ajustements notamment au niveau des combats, de progression, d’économie…

L’histoire

Précédemment dans God of War

En 2018, nous apprenions que Kratos avait un fils, mais aussi qu’il avait décidé de s’expatrier dans les Neufs Royaumes de la mythologie nordique. Son aventure était d’aller déposer les cendres de sa défunte femme au point culminant des Royaumes avec Atreus, son fils. Un road trip pas forcément joyeux tant vis-à-vis des protagonistes et antagonistes rencontrés que de la relation entre père et fils. Toutefois, tant bien que mal, l’objectif sera rempli et la dyade rentrera au bercail pour piquer un somme bien mérité. Enfin… À moins que le Dieu du Tonnerre, Thor, n’en décide autrement bien entendu. Cliffhanger incroyable qui nous mettra en haleine pendant quatre longues années.

Le dieu de la guerre est de retour

Nous y sommes enfin, la suite des aventures et la découverte d’une myriade de personnages. On ne va pas trop aller trop dans le détail de cette nouvelle histoire qui demande vraiment à être découverte. Toutefois, il est important de souligner que la qualité d’écriture a grandement été améliorée dans cette suite et notamment au niveau des personnages secondaires.

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Le thème principal du jeu reste autour de la filiation, mais on découvre aussi d’autres facettes, histoires et comportements chez les autres personnages. Trahison, fraternité, amour et vengeance… Ces différents aspects enrichissent nettement la trame principale et apportent un aspect consistant. La focalisation ne se fait plus uniquement sur la dyade, mais bien sur l’ensemble du groupe. Une impression qui grandira à mesure que vous avancerez dans l’histoire.

Difficile de ne pas parler du plus évident et attendu, mais Thor est vraiment une réussite et son acteur y est certainement pour beaucoup. Pour ceux qui ne le connaissent pas, il s’agit de Ryan Hurst qu’on a suivi pendant longtemps dans la série Sons of Anarchy. Une écriture pas forcément raffinée du personnage, mais avec des sous-couches assez flagrantes qui permettront d’apporter une profondeur. 

Tant que nous sommes sur le voice acting, il est important de noter que Christopher Judge (Kratos) malgré ses soucis de santé a offert une nouvelle performance incroyable dans l’interprétation de Kratos. Notamment avec une personnalité bien plus développée que dans le premier opus et apportant un spectre plus large aux décisions prises. Passé, présent et futur sont mis ensemble pour justifier les décisions, les prises de conscience et la relation de filiation.

On notera toutefois quelques défauts de rythme où le jeu considère que vous n’allez pas forcément faire l’histoire en ligne droite. De ce fait, certaines prises de décisions auront parfois l’impression d’être remises en question très rapidement. La temporalité est, de ce fait, pas toujours compréhensible donc n’hésitez pas à parfois écouter Mimir qui vous propose constamment de prendre le temps d’aller faire quelques activités annexes.

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La vision du Ragnarök est clairement revue comparativement aux légendes nordiques, mais on constate toutefois de nombreux points similaires dans les affrontements ou les personnages présents. J’aurai tendance à avoir été quelque peu déçu par le personnage d’Odin qui manque un poil de charisme à mon goût même s’il met bien en avant sa personnalité pré-Ragnarök.

Clairement, en termes de trame scénaristique principale et secondaire, on est ici sur une réelle amélioration et un travail incroyable réalisé par le studio.

Les options & l’accessibilité

Qu’il est plaisant de voir un studio qui favorise autant la diversité de ses options graphiques et d’accessibilité ! En parlant de cette dernière, vous constaterez sur les images en dessous que c’est relativement complet et inclusif. On peut notamment travailler aussi sur la réalisation des énigmes de manière simplifiée, favoriser le fait de récolter automatiquement ou modifier certains aspects sonores du titre. Il est vraiment intéressant de se dire que le joueur peut customiser son jeu pour répondre à son envie et s’offrir l’expérience qu’il désire.

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À votre début de partie, vous aurez le choix entre plusieurs modes de difficultés allant de l’histoire au mode le plus difficile et impardonnable. L’occasion pour les personnes ne cherchant pas forcément le défi de la difficulté de profiter tranquillement du titre, mais aussi pour les try harders d’y aller à fond les ballons. Le test a été réalisé en mode God of War (juste en dessous du mode le plus difficile) et c’était une expérience assez intéressante en matière de difficulté où chaque combat demande de faire appel à l’ensemble de ses compétences pour éviter de se faire ouvrir en deux.

Le gameplay

Le combat & l’équipement

Si vous avez joué au premier opus, vous aurez beaucoup de facilité à reprendre en main ce titre. Certes, cela va vous demander de faire appel à votre mémoire et vous risquez de manger le sol dans les premières minutes, car le jeu reste (dans un mode de difficulté classique) peu évident quand on débute. Les ennemis sont toujours aussi féroces et la gestion du nombre est beaucoup moins évidente que dans le premier opus. C’est un élément qui m’a posé le plus de difficulté d’ailleurs, l’attention à apporter aux différents ennemis qui ne se gêneront pas de vous encercler et d’attaquer dans les plus mauvais timings possibles. Vous devez donc être vigilant aux flèches de couleurs autour de votre personnage et aux paroles de votre compagnon pour être sûr d’esquiver les attaques. Encore une fois, c’est une mécanique à apprendre au fur et à mesure.

On retrouve aussi certaines nouveautés notamment via les altérations d’états et l’arrivée du Bïfrost. Cette altération pose une marque sur la barre de vie ennemie (ou la vôtre). Le prochain coup enlèvera une plus grande partie de vie. Bien gérée, cette altération peut littéralement faire fondre les barres de vies.

Ragnarök reprend les mêmes principes d’équipement que son aîné avec un équipement que l’on peut soit confectionner ou trouver et qui est évolutif au fur et à mesure de l’aventure via des ressources récoltées. On retrouve des protections de torse, de poignets et des jambières. Les poignets et les jambières du même set offrent généralement une évolution du même bonus quand ils sont équipés en même temps. Par exemple, vous gagnerez 10 % de rage supplémentaire avec les poignets équipés, 20 % si les jambières sont aussi équipées.

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Pour rappel, on retrouve les statistiques suivantes :

  • Force, augmente les dégâts infligés
  • Défense, réduit les dégâts subis
  • Rune, augmente les dégâts des compétences
  • Vitalité, augmente la vie
  • Renouvellement, augmente la vitesse de réapparition des attaques runiques
  • Chance, augmente la probabilité des effets aléatoires et les gains d’expérience et d’argent

La nouveauté de Ragnarök viendra d’une nouvelle protection : l’amulette. Celle-ci est évolutive dans le nombre d’emplacements (jusqu’à 10) et vous permet d’y poser des enchantements. Chacun de ceux-ci apporte des gains de statistiques. Quand vous mettez 3 enchantements d’un même type, vous obtiendrez un bonus d’ensemble.

Du côté des armes, on retrouve bien entendu la Hache Léviathan et les Lames du Chaos qui sont, à nouveau, améliorables au fur et à mesure de l’aventure comme dans le premier opus. Chaque arme peut être améliorée avec des attaques runiques comme précédemment.

On retrouve des compétences déjà connues dans le premier opus, mais aussi quelques nouvelles qui viennent dynamiser les combats. Celles-ci sont obtenues au fur et à mesure que vos armes évoluent et en échange d’expérience. Petite nouveauté des compétences, il y a maintenant des objectifs à réaliser par rapport à l’utilisation de celles-ci. Après un certain nombre d’utilisations, vous pourrez améliorer une compétence en favorisant les dégâts, l’étourdissement ou encore la défense. Un seul choix est accessible et celui-ci est définitif.

Nouveautés au programme, il est maintenant possible de profiter de différents types de boucliers qui peuvent être très défensifs ou très agressifs en passant par l’équilibre, mais aussi de profiter de différentes rages spartiates en fonction de vos envies. L’occasion donc de favoriser et arranger votre type de gameplay dans le jeu. 

On notera d’ailleurs que la plupart de ces aspects sont aussi pour votre compagnon.

L’exploration

Outre l’histoire, une des parties importantes du jeu reste l’exploration. Celle-ci est généralement bien mise en avant, car la trame principale vous demande de visiter et de revisiter certains lieux. Favoriser ces balades à travers les Neufs Royaumes vous permettra de recueillir de l’équipement, de l’argent, de l’expérience, mais aussi de résoudre certaines quêtes annexes dont nous allons parler juste après.

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Il est réellement plaisant, comme dans le premier opus, de se balader dans les Neufs Royaumes qui ont vraiment chacun leur identité propre. Un travail particulier a été apporté pour justement favoriser la redécouverte de ces lieux depuis le Fimbulvetr (Hiver long dans la mythologie nordique) et c’est clairement réussi. À aucun moment, je n’ai eu l’impression de revivre les mêmes moments, mais vraiment une version alternative.

Chaque carte dispose d’un taux d’achèvement et vous récapitule les différents objectifs pour atteindre les 100 %. 

Les quêtes annexes

On retrouve des éléments assez similaires au niveau des quêtes annexes. Certaines sont liées à des collectibles, mais d’autres présentent pour améliorer la compréhension de l’histoire des personnages secondaires. Il arrive souvent qu’après avoir fini une zone au niveau de la trame scénaristique, on obtienne différentes quêtes pour continuer l’exploration et apporter plus de profondeur à la zone en question. On notera qu’il y a très nettement une qualité d’écriture apportée aux différentes quêtes, nous ne sommes pas juste sur « Va là-bas, récolte ça merci et au revoir ». On a parfois l’impression de suivre tout simplement l’histoire du jeu et c’est vraiment plaisant.

On retrouve aussi certaines activités à l’instar des fameuses Valkyries (qui sont ici des Berserkers) ou des épreuves de Muspelheim. J’ai pas mal dosé le jeu et notamment réalisé l’ensemble des Berserkers, le challenge est un peu moins intéressant que celui des Valkyries à mon sens, mais cela reste tout de même intéressant.

La technique

Du côté des graphismes, on retrouve le fameux mode graphique dont certains ont certainement déjà entendu parler via les réseaux. Celui-ci propose deux modes : Performance ou Résolution. Le premier offre une 4k dynamique pouvant aller jusqu’à 120 Hz en fonction de votre écran (si votre écran ne dispose pas de cette fréquence, il ira jusqu’à 60 Hz).

Je dois vous avouer que j’ai réalisé une partie du jeu en mode résolution, c’était assez agréable même si je sentais un manque de fluidité (je suis habitué à de hauts taux de fréquence jouant sur un écran 144 Hz). Vers la moitié de l’aventure, j’ai switché en mode performance et le changement a été radical. À tel point que j’avais alors l’impression d’être dans Benny Hill versions Kratos. Une grande fluidité vraiment appréciée tout en gardant un aspect graphique bluffant par moment. Dans les phases de gameplay, on constate que l’environnement est moins détaillé au niveau de la profondeur de champ, mais le jeu reste très agréable à l’œil de manière générale.

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Une optimisation aux petits oignons qui permet de profiter pleinement de l’aventure sans avoir de vilains ralentissements ou baisse de framerate sans la moindre raison.

Au niveau de la dualsense, on retrouve forcément des mécanismes liés au retour haptique notamment sur certains passages où les vibrations font ressortir la puissance des coups, votre démarche ou les ressentis des personnages. Les gâchettes adaptatives sont aussi mises à contribution, mais j’ai été assez déçu du rendu qui manque de précision. À noter que cela a été amélioré par un patch durant le test et que le patch de lancement devrait aussi apporter ses améliorations.

Conclusion

Qu’est-ce qu’il est difficile d’écrire ce test sans vous révéler tout ce que je connais maintenant ! Clairement, nous n’avons pas une révolution dans cette suite, elle reprend des bases qui étaient solides et apportent quelques nouveautés qui viennent agrémenter le tout.

L’élément le plus marquant, à mon niveau, c’est la qualité de l’écriture qui a vraiment fait un bond en avant et offre une profondeur dans cet univers posé en 2018. La complexité des personnages anciens comme nouveaux et aussi la palette plus élargie des émotions vécues. Kratos revient sur son passé le plus ancien, sur ses récentes décisions, sur son futur et sa relation avec Atreus. Que dire derrière d’autres personnages comme Freya, Sindri ou encore Thor si ce n’est que l’évolution et l’évolution de leur personnalité est juste impressionnante de qualité. Il y a tellement à dire sur l’écriture et j’ai hâte de voir vos retours concernant celle-ci.

Santa Monica Studio réalise ici un travail titanesque et pas forcément évident. En effet, réaliser une suite, c’est forcément se mettre sous le couvert de la comparaison et du fameux « c’était mieux avant ». Toutefois, le studio a eu l’intelligence de repartir sur les bases solides tout en améliorant les différentes mécaniques. On notera derrière l’évolution qualitative des zones à la fois connues et en fait pas du tout. Et la cerise sur le gâteau, c’est de se dire que tout cela a été effectué majoritairement durant la période COVID, avec du télétravail et tout le bordel qui va avec. 

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God of War Ragnarök est clairement l’un des meilleurs jeux sortis en cette année 2022 et certainement l’un des favoris pour être le Game Of The Year. On peut clairement lui reprocher peu d’éléments négatifs sans commencer à pinailler. Si vous aviez aimé God of War, vous allez être aux anges avec cette suite, foncez ! Si vous n’aviez pas aimé, cela va être compliqué, car on repart vraiment sur les mêmes bases. Si vous ne connaissez aucunement cet univers, il est maintenant temps de s’y mettre, car c’est clairement passer à côté d’une aventure. 

Pour ma part, il s’agit, avec Elden Ring, d’une des meilleures découvertes de cette année 2022. J’ai failli clairement applaudir dans mon salon (comme un con) à la fin du titre même si je reste avec une sensation qu’il me manque quelque chose.

Au niveau durée de vie, j’ai effectué un peu moins de 50 heures de jeu en réalisant une grande partie des activités annexes (il doit me reste certaines épreuves de Muspelheim et quelques quêtes annexes/récoltes). Je pense que le 100 % doit se faire en 70-80 heures. La partie histoire, en ligne droite, doit se terminer entre 20 et 30 heures en fonction du mode de difficulté choisi. Un conseil, prenez le temps. Il y a énormément de dialogues qui s’effectuent entre les personnages secondaires et qui méritent d’être écoutés afin de mieux comprendre les relations.

God of War: Ragnarök sera disponible le 9 novembre sur PlayStation 5 au prix officiel de 79,99 euros. Il est fort probable que le jeu arrive sur PC à l’instar du premier opus (mais il faudra attendre quelques années !).

Testé sur PlayStation 5 par Glaystal avec une version fournie par l’éditeur

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