GAMESCOM 2025 - Atmosfar, l'odyssée aérienne

Atmosfar, un tout nouveau jeu de survie et d’exploration en monde ouvert, s’est dévoilé pour la toute première fois en version jouable lors de cette Gamescom. Un projet aussi original qu’ambitieux, développé depuis trois ans par une équipe qui s’est agrandie pour atteindre aujourd’hui près de 16 personnes.

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Atmosfar vous plonge dans un univers de science-fiction plein de poésie, où l’humanité vit ses derniers jours sur un archipel d’îles flottantes. À la croisée de No Man’s Sky et d’un roman de Jules Verne, le jeu séduit par son atmosphère ultra relaxante : ici, la découverte a le goût de l’évasion, l’exploration se fait au gré du vent et le ciel n’a plus de limites.

Votre mission : survivre et prospérer, seul ou avec vos amis, à bord de vos vaisseaux modulaires, alors que vous improvisez le destin du dernier avant-poste de l’humanité.

Là où Atmosfar se démarque, c’est par la variété et la profondeur de ses véhicules volants, en particulier le Wasp. Fabriquée en quatre versions (transport, cargo, utilitaire, etc.), chaque “guêpe” offre un gameplay singulier : on peut filer en rase-mottes, voler en stationnaire ou soulever à l’aide d’un aimant des modules qu’on doit ramener à son vaisseau-mère. Lors de ma session, il m’a fallu gérer à la fois le pilotage précis de l’hélico, l’équilibre de l’aimant et l’altitude... un vrai défi technique qui rappelle les célèbres “mini-jeux métier” de certains jeux d’aventure !

Les déplacements à terre, eux, se veulent simples et plaisants, avec un jetpack qui évoque sans détour l’exploration libre de No Man’s Sky. On passe vite de la cueillette de ressources à la recherche de modules essentiels pour la survie.

La base volante, cœur de toutes les expéditions

Le "Cloud Cruiser" est bien plus qu’un simple vaisseau : véritable camp volant et mobile-home, il évolue au gré des trouvailles et abrite tout ce qu'on aime. Le hangar permet de stocker less guêpes, il est possible de meubler le salon, et les modules peuvent être améliorés grâce au craft. Le tout avec une interface pensée pour accueillir confortablement plusieurs joueurs en coopération.

Une exploration libre, aucune partie identique

Atmosfar promet un monde ouvert, généré autour de la découverte et de l’adaptation :

  • Îles flottantes uniques à traverser, chacune regorgeant de biomes luxuriants, de bestioles extraterrestres géantes et de zones à explorer.
  • Changements climatiques annoncés, qui viendront corser les aventures aériennes (non montrés dans la démo, mais très attendus pour la suite).
  • Gestion complète des ressources : carburant, nourriture, santé, outils et entretien des machines, rien n’est laissé au hasard.
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Le multijoueur au cœur de l’expérience

Vous n’êtes jamais obligé de voyager seul : Atmosfar propose une coopération multijoueur, où chacun peut piloter son propre vaisseau, dépanner l’équipe, construire collectivement et décider ensemble du prochain horizon à atteindre. Faire du stop dans le Wasp d’un ami, voler en formation ou partager une base volante, tout est possible.

Encore en développement (sortie prévue pour 2026), Atmosfar entend façonner son gameplay final d’après les retours de la communauté. Après cette première heure de test, la prise en main s’est révélée à la fois intuitive et gratifiante : on sent déjà le plaisir pur de la découverte et de la maîtrise du pilotage, alors même que tout reste à écrire.

Atmosfar n’est pas qu’un jeu de survie ou de pilotage : c’est une ode à la curiosité, à la contemplation et à l’ingéniosité. Les grandes explorations aériennes, la construction progressive du vaisseau, la rencontre avec une faune étrange et la gestion de vos ressources forment l’ADN d’un jeu où chaque minute respire la liberté. Restez donc aux aguets : Atmosfar pourrait bien devenir, d’ici 2026, une des grandes aventures sandbox et coop des prochaines années. Je m'emballe peut-être un peu, mais le potentiel est bien là.

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