Test de Dream of the Beast, le DLC de Metal: Hellsinger

Annoncé quelques jours plus tôt, le nouveau DLC pour Metal: Hellsinger est déjà disponible. Qu'est-ce qui se cache dans le rêve de cette bête ?

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Sulfateuse et petites tenues

Proposé pour une pincée d'euros, Dream of the Beast propose une nouvelle arme, des tenues spéciales ainsi que deux nouvelles musiques.

Les nouveaux morceaux sont interprétés par Cristina Scabbia (Lacuna Coil) et par Will Ramos (Lorna Shore). Comme ils n'ont pas de niveau dédié, il faudra les choisir dans le tout nouveau menu musical d'un monde pour pouvoir chasser à leurs rythmes. Et ce sera d'ailleurs un seul à la fois : ils ne peuvent pas être utilisés que comme thème principal, pas en tant que chanson de boss.

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La nouvelle arme est disponible de suite dans votre arsenal. La Main Rouge s'avère être une mitrailleuse tout à fait classique : à chaque tir, ce sont trois balles qui partent en rafale. Son attaque spéciale crache du plomb à haute dose devant vous pendant quelques secondes. Alors que les précédentes armes étaient plutôt originales dans leurs maniements, on a l'impression ici de tomber un peu dans la facilité.

Les trois tenues apportent chacune une spécificité. L'Adepte des Arcanes active un bouclier à usage unique quand on ramasse un décupleur de fureur. Avec l'Etoile du Matin, c'est un peu de vie qu'on récupère alors. Quant à la Sentence, c'est le nombre de munition qui augmente à chaque rechargement, tant qu'on garde la même arme. Pour l'occasion, la tenue par défaut se voit également doté d'une particularité : une fois la furie à 16x, la jauge de l'attaque ultime se remplie plus vite. À noter que les apparences sont quelques peu... spéciales, surtout lorsqu'elles apparaissent dans les cinématiques : on a droit à une tenue en cuir, un déguisement de cow-boy et un ensemble d'ange kawaii...

Même s'il est dommage de ne pas avoir de nouveau niveau pour profiter de ces nouveautés, ce DLC propose de quoi prolonger l'expérience pour un petit prix, surtout si on apprécie les deux nouveaux artistes.

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Il y en a pour les autres aussi

Cette sortie est également l'occasion de revenir sur les nouveautés passées de Metal: Hellsinger. En effet, les développeurs ne se sont pas contentés d'engranger les prix tout en travaillant sur ce petit DLC : quelques ajouts intéressants sont également apparus au fil des mises à jour gratuites, principalement avec la 1.5 de décembre.

En même temps que le DLC, c'est le menu musical dont nous parlions plus tôt qui est accessible à tous. Pour chaque niveau, vous pouvez maintenant choisir les autres musiques selon deux catégories : les principales et celles des combats de boss.

Dans les nouveautés antérieures, il y a l'apparition des Écussons. Pour chaque niveau et pour chaque difficulté, il faudra découvrir un emblème caché quelque part dans les dédales. À chaque fois qu'un palier est atteint, l'une de vos armes se voit offrir une apparence alternative. Notons qu'il n'est pas obligatoire d'aller au bout d'un niveau pour valider votre découverte, l'objet étant débloqué dès qu'il est touché. Leur emplacement est également différent entre deux difficultés, donc il faudra bien fouiller à chaque fois pour récolter ces 32 Écussons.

Vous me direz que les comptes ne sont pas bons, Kevin. Mais c'est parce qu'un tout nouveau mode de difficulté a également fait son apparition : la difficulté Archidémon. Au programme, nous avons des monstres plus méchants, plus nombreux, et aucune résurrection possible. Il faut également regagner vos Supplices pour qu'ils soient disponibles dans ce mode là. Et bien entendu, il a également son tableau de classement en ligne dédié.

Parmi les ajouts notables, il y a enfin le support des mods via FMOD Studio. C'est l'occasion de faire varier les artistes, mais aussi de changer les styles musicaux. Si on traine sur NexusMods, on peut y apercevoir du Powerwolf, du DragonForce ou... du Mike Gordon. La boucle est bouclée.

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Test réalisé sur PC par NeoGrifteR à partir d’une version fournie par l’éditeur.

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